Le maitre coranique Imam Boubacar Dianko est le seul parmi d’autres accusés à être libéré pour le moment à la suite de l’interjection appel. Accusé de "terrorisme" ainsi que d’autres personnes, il a été acquitté en première instance en mars 2019. Une peine que le juge d’appel de Dakar a confirmé hier lundi 26 avril. Poursuivi pour "association de malfaiteurs, attentat à la sureté de l’Etat et actes de terrorisme", le Procureur général avait requis 20 ans de réclusion criminelle.
Pendant le mois de février 2013, les services secrets maliens avaient découvert que l’imam Dianko communiquait en permanence avec l’émir du Mouvement de l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao) à Gao. D’après les informations, ce dernier est l’agent de recutreur Hamada Ould Mohamed El Kheri.
Poursuivant l’enquête, il a été aussi prouvé que l’Imam Dianko s’est rendu à Mali, « après avoir reçu la somme de 200 mille F Cfa », selon le journal Les Echos. Par ailleurs, il a été arrêté une fois de retour au Sénégal en janvier 2013 en compagnie de son neveu et élève Ahmadou Bamba Dianko.
Pendant le mois de février 2013, les services secrets maliens avaient découvert que l’imam Dianko communiquait en permanence avec l’émir du Mouvement de l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao) à Gao. D’après les informations, ce dernier est l’agent de recutreur Hamada Ould Mohamed El Kheri.
Poursuivant l’enquête, il a été aussi prouvé que l’Imam Dianko s’est rendu à Mali, « après avoir reçu la somme de 200 mille F Cfa », selon le journal Les Echos. Par ailleurs, il a été arrêté une fois de retour au Sénégal en janvier 2013 en compagnie de son neveu et élève Ahmadou Bamba Dianko.