’’Nous avons transporté, entre le 29 décembre et le 16 janvier, exactement 501485 passagers sur un objectif de 250.000. Cette opération dénommé ‘’Sargal’’ (gratuité) est un succès. On sent parmi tous les voyageurs un très grand sentiment de fierté’’, a-t-il notamment déclaré dans une interview parue lundi au quotidien Le Soleil.
’’C’est vraiment la fierté qui domine. On a compris que c’est un TER pour tous. Quand on regarde les statistiques par gare, les voyageurs se sont présentés en masse. Donc, ce n’est pas uniquement les habitants de Dakar Plateau qui utilisent le TER’’, a souligné Frédéric Bardenet.
Il a par exemple signalé que plus de 41 000 voyageurs ont emprunté en une journée le TER pendant le week-end du 1er au 2 janvier et plus de 37 000 entre le 11 et le 12 janvier.
’’Cette affluence est d’autant plus remarquable que les horaires durant la phase test (10 h-18 h entre le 29 décembre et le 12 janvier puis 7 h-20h entre le 14 et le 17 janvier), ne correspondent pas au service que nous allons proposer durant la phase d’exploitation (5h30-22h) qui débute mardi 18 janvier’’, a fait savoir le directeur général de la SETER.
Le TER a été officiellement mis en service le 27 décembre par le président Macky Sall, cinq ans après le lancement des travaux du projet.
Le TER, l’un des projets phares du Plan Sénégal émergent (PSE), doit relier le centre-ville de Dakar au nouvel aéroport international Blaise-Diagne, qui est situé à 57 km de la capitale sénégalaise, en quarante-cinq minutes.
Le projet est réalisé en deux phases : une première phase allant de la gare de Dakar à Diamniadio (36 km) et une seconde phase allant de Diamniadio à l’AIBD.
Le coût du train est de 780 milliards de francs CFA, un montant n’incluant pas les taxes et les frais douaniers, dont 76 milliards pour la libération des emprises et 10 milliards pour l’accompagnement de projets sociaux liés à la construction de l’ouvrage, selon des données obtenues auprès de l’Agence pour la promotion des grands travaux de l’Etat (APIX).
’’C’est vraiment la fierté qui domine. On a compris que c’est un TER pour tous. Quand on regarde les statistiques par gare, les voyageurs se sont présentés en masse. Donc, ce n’est pas uniquement les habitants de Dakar Plateau qui utilisent le TER’’, a souligné Frédéric Bardenet.
Il a par exemple signalé que plus de 41 000 voyageurs ont emprunté en une journée le TER pendant le week-end du 1er au 2 janvier et plus de 37 000 entre le 11 et le 12 janvier.
’’Cette affluence est d’autant plus remarquable que les horaires durant la phase test (10 h-18 h entre le 29 décembre et le 12 janvier puis 7 h-20h entre le 14 et le 17 janvier), ne correspondent pas au service que nous allons proposer durant la phase d’exploitation (5h30-22h) qui débute mardi 18 janvier’’, a fait savoir le directeur général de la SETER.
Le TER a été officiellement mis en service le 27 décembre par le président Macky Sall, cinq ans après le lancement des travaux du projet.
Le TER, l’un des projets phares du Plan Sénégal émergent (PSE), doit relier le centre-ville de Dakar au nouvel aéroport international Blaise-Diagne, qui est situé à 57 km de la capitale sénégalaise, en quarante-cinq minutes.
Le projet est réalisé en deux phases : une première phase allant de la gare de Dakar à Diamniadio (36 km) et une seconde phase allant de Diamniadio à l’AIBD.
Le coût du train est de 780 milliards de francs CFA, un montant n’incluant pas les taxes et les frais douaniers, dont 76 milliards pour la libération des emprises et 10 milliards pour l’accompagnement de projets sociaux liés à la construction de l’ouvrage, selon des données obtenues auprès de l’Agence pour la promotion des grands travaux de l’Etat (APIX).