Le drame s'est déroulé au niveau de l'arrêt Darou Salam, aux environs de 19 heures 15 minutes, renseigne Walfadjri. Mais il y a eu plus de peur que de mal puisque le Lieutenant a été juste frôlé par le train. Ce, grâce à la vigilance du conducteur qui a senti le coup venir. En effet, il avait déjà aperçu le militaire de loin en train de se préparer au suicide. "Avant de se jeter devant le train, le candidat au suicide a eu des échanges avec des enfants qui étaient venus déposer des bacs d'ordures", confie un témoin du drame.
D'après d'autres témoins, "l'officier voulait entraîner dans sa tentative de suicide les enfants". Ces bouts de bois de Dieu n'ont dû leur salut que par la grâce d'un homme qui a demandé au haut gradé de ne pas entraîner les enfants avec lui. C'est à la suite de ces échanges qu'il s'est jeté sur les rails. Quand il a été percuté par le train, le conducteur a automatiquement arrêté l'engin pour s'enquérir de l'état du militaire. Il a eu une fracture au niveau du crâne. Avant l'arrivée des sapeurs pompiers, deux heures après, il a perdu beaucoup de sang. Juste après l'accident, son frère l'a appelé au téléphone. N'étant pas conscient, le coup de fil de son frère a été décroché par un agent de l'Agence de sécurité de proximité (Asp).
Sur les lieux du drame, les témoins rapportent que, quelques minutes après le choc, l'officier, qui était en civil, a commencé à délirer avant de se calmer. Interpellé par les témoins sur les raisons qui l'ont poussé au suicide, il n'a pas pu répondre. Même les gendarmes dépêchés sur les lieux n'ont pas pu soutirer des informations sur les raisons de sa tentative de suicide.
Après le constat par les éléments de la Gendarmerie, l'officier a été évacué à l'hôpital par les sapeurs pompiers pour recevoir des soins, laissant des interrogations sur les raisons qui l'ont poussé à vouloir se tuer.
D'après d'autres témoins, "l'officier voulait entraîner dans sa tentative de suicide les enfants". Ces bouts de bois de Dieu n'ont dû leur salut que par la grâce d'un homme qui a demandé au haut gradé de ne pas entraîner les enfants avec lui. C'est à la suite de ces échanges qu'il s'est jeté sur les rails. Quand il a été percuté par le train, le conducteur a automatiquement arrêté l'engin pour s'enquérir de l'état du militaire. Il a eu une fracture au niveau du crâne. Avant l'arrivée des sapeurs pompiers, deux heures après, il a perdu beaucoup de sang. Juste après l'accident, son frère l'a appelé au téléphone. N'étant pas conscient, le coup de fil de son frère a été décroché par un agent de l'Agence de sécurité de proximité (Asp).
Sur les lieux du drame, les témoins rapportent que, quelques minutes après le choc, l'officier, qui était en civil, a commencé à délirer avant de se calmer. Interpellé par les témoins sur les raisons qui l'ont poussé au suicide, il n'a pas pu répondre. Même les gendarmes dépêchés sur les lieux n'ont pas pu soutirer des informations sur les raisons de sa tentative de suicide.
Après le constat par les éléments de la Gendarmerie, l'officier a été évacué à l'hôpital par les sapeurs pompiers pour recevoir des soins, laissant des interrogations sur les raisons qui l'ont poussé à vouloir se tuer.