Depuis quelques jours, le Sénégal accueille des missions d’observation envoyées par les Ong internationales de la Diaspora Africaine en Europe (Groupe Agir Europe Afrique, l'Union des Jeunesses de la Communauté Monétaire de l'Afrique Centrale (UJ- CEMAC)) et l'Organisation Mondiale de la Paix pour s’imprégner de la situation de crise qui prévaut dans le pays. Face à la presse hier, les membres de cette mission ont mis l’accent sur les tensions générées par le dossier Ousmane Sonko-Mame Mbaye Niang. Depuis leur arrivée le 20 Mars dernier, ces émissaires se sont attelées à s'informer et à regrouper les éléments dont ils ont besoin pour avoir une compréhension bonne et conforme à la réalité en cours. «C'est avec grande tristesse que les missions observent que parmi les sujets qui contribuent à crisper le climat au Sénégal, il existe la question d'une procédure de justice contre une personnalité du pays, membre de l'opposition politique», indique la secrétaire permanente Dongui Mariama.
A l’en croire, les missions (UJ-CEMAC) et l'Organisation Mondiale de la Paix comprennent difficilement qu'une procédure normale et ordinaire de justice initiée par un citoyen contre un autre citoyen sur les bases des textes de droit, puisse être utilisée pour jeter des populations dans les rues et occasionner des pertes en vie humaine et des dégâts matériels. Par conséquent, «ces missions (UJ-CEMAC), et l'Organisation Mondiale de la Paix appellent le peuple sénégalais au calme, à la sérénité et à ne pas tomber dans la passion extrême qui amène ne plus voir l'évidence. De même , elles lui demandent de vaquer sereinement à ses occupations, de laisser la justice sénégalaise faire son travail en lui faisant confiance. «Cette justice a démontré à plusieurs reprises à la face du monde qu'elle est indépendante et impartiale. Cette indépendance et cette impartialité dont l'Afrique est si fière ne saurait être sacrifiée sur l'autel d'intérêts personnels», souligne la secrétaire permanente qui estime que l'Afrique a trop souffert de ces images. «Le Sénégal a toujours été le pays qui sert d'exemple pour effacer ces images. C'est pourquoi, ces missions exhortent les acteurs politiques à calmer leurs différents partisans et à laisser la justice faire librement son travail.
Elles appellent les Sénégalaises et les Sénégalais à rester sourds à ces appels à manifester et à ne pas oublier que quelque part à côté d'eux, un frère, une sœurs, un parent, un ami, un voisin, un collègue est dans une procédure de justice, sans que cela ne soit un sujet de manifestation. La procédure qui est en cours est des plus normales. Et elle ne devrait pas être un prétexte pour occasionner ces pertes malheureuses en vie humaine et ces dégâts matériels déplorables».
L'As
A l’en croire, les missions (UJ-CEMAC) et l'Organisation Mondiale de la Paix comprennent difficilement qu'une procédure normale et ordinaire de justice initiée par un citoyen contre un autre citoyen sur les bases des textes de droit, puisse être utilisée pour jeter des populations dans les rues et occasionner des pertes en vie humaine et des dégâts matériels. Par conséquent, «ces missions (UJ-CEMAC), et l'Organisation Mondiale de la Paix appellent le peuple sénégalais au calme, à la sérénité et à ne pas tomber dans la passion extrême qui amène ne plus voir l'évidence. De même , elles lui demandent de vaquer sereinement à ses occupations, de laisser la justice sénégalaise faire son travail en lui faisant confiance. «Cette justice a démontré à plusieurs reprises à la face du monde qu'elle est indépendante et impartiale. Cette indépendance et cette impartialité dont l'Afrique est si fière ne saurait être sacrifiée sur l'autel d'intérêts personnels», souligne la secrétaire permanente qui estime que l'Afrique a trop souffert de ces images. «Le Sénégal a toujours été le pays qui sert d'exemple pour effacer ces images. C'est pourquoi, ces missions exhortent les acteurs politiques à calmer leurs différents partisans et à laisser la justice faire librement son travail.
Elles appellent les Sénégalaises et les Sénégalais à rester sourds à ces appels à manifester et à ne pas oublier que quelque part à côté d'eux, un frère, une sœurs, un parent, un ami, un voisin, un collègue est dans une procédure de justice, sans que cela ne soit un sujet de manifestation. La procédure qui est en cours est des plus normales. Et elle ne devrait pas être un prétexte pour occasionner ces pertes malheureuses en vie humaine et ces dégâts matériels déplorables».
L'As