Le secrétaire général de la coordination régionale de Thiès de l’Alliance des Forces de Progrès (AFP), Mbaye Dione, a vigoureusement condamné, lors d’une rencontre avec ses frères et sœurs de parti, «la violence verbale et la surenchère notées à présent dans le jeu politique ». L’édile de la commune de Ngoundiane, s’exprimant sur la situation sociopolitique très tendue dans notre pays, a soutenu que « la violence, qu’elle soit physique ou verbale, d’où qu’elle vienne, doit être bannie. Nousla condamnons fermement, et ce, de la façon la plus vigoureuse ». Il a aussi indiqué que « nos chefs religieux sont des socles de la stabilité de ce pays. Qu’ils soient musulmans, catholiques ou de n’importe quelle autre obédience religieuse, nous leur devons respect. »
A en croire, LeTémoin, le maire de Ngoundiane s’est offusqué du fait que « cette violence ne soit pas l’apanage seulement des jeunes car il y a des adultes qui, dans leurs discours, mettent en relief la violence, la haine». Il pense fondamentalement que « nous devons revenir aux valeurs cardinales qui fondent la stabilité de notre pays ». Le responsable en chef de l’AFP dans la région de Thiès n’a pas manqué de lancer un appel à la jeunesse du pays mais aussi à la classe politique et à tous les citoyens, à « faire en sorte que la paix règne au Sénégal ». Parce que, a-t-il prévenu, « « quiconque voudrait semer la violence dans ce pays pourrait bien se retrouver malheureusement dans la vague des premières victimes ».
A en croire, LeTémoin, le maire de Ngoundiane s’est offusqué du fait que « cette violence ne soit pas l’apanage seulement des jeunes car il y a des adultes qui, dans leurs discours, mettent en relief la violence, la haine». Il pense fondamentalement que « nous devons revenir aux valeurs cardinales qui fondent la stabilité de notre pays ». Le responsable en chef de l’AFP dans la région de Thiès n’a pas manqué de lancer un appel à la jeunesse du pays mais aussi à la classe politique et à tous les citoyens, à « faire en sorte que la paix règne au Sénégal ». Parce que, a-t-il prévenu, « « quiconque voudrait semer la violence dans ce pays pourrait bien se retrouver malheureusement dans la vague des premières victimes ».