Le fils du défunt khalife des tidianes Mame Abdoul Aziz Sy Dabakh de préciser qu’il «parle à mon nom état propre en tant que simple citoyen». Toutefois, le marabout se refuse d’être «complice du silence coupable des chefs religieux».
A l’en croire, cette tension ne se justifie outre mesure. Pour la simple t bonne raison que «Ousmane Sonko n’est qu’une simple victime dans cette histoire». Et Serigne Alioune Badara Sy Dabakha de trancher: «Lignouko tek tégouniouko fèn, (Ndlr: on a fait du tort à Sonko)».
«Ils ont diabolisé Ousmane Sonko, sonena (il est éprouvé, fatigué). Louy diffamation (c’est quoi la diffamation)? Cette diffamation, dont ils parlent, été écrit dans un livre tout entier laissé à la postérité. Ils ont essayé de le faire tomber avec une première affaire qui s’est soldée par un échec. Et là , ils reviennent à la charge avec cette histoire de diffamation. Ils n’ont qu’à le laisser tranquille parce que personne ne peut aller à l’encontre de la volonté divine», a encore soutenu le fils de Dabakh, très colère contre tous ceux qui sont responsables de cette tension politico-sociale.
A cet effet, il interpelle directement le président de la République, les chefs religieux et la jeunesse. «10 ou 11 ans derrière, le président Macky Sall n’aurait jamais cru qu’il serait président de la République. Et Dieu a décidé qu’il en sera ainsi. Aujourd’hui, il est face à l’histoire. Et je rappelle que, tout comme nos ancêtres, le Sénégal, qui nous a vu naitre, nous verra mourir. Et tout chef rendra compte devant Allah ! Que les autorités sachent qu’ils ne sont pas plus méritants que les autres, ni par naissance, ni par richesse.
Que Macky Sall prenne ses responsabilités et qu’il se ressaisisse avant qu’il soit trop tard. Je lui demande solennellement, avec tout le respect qu’il faut, de mettre fin à cette mascarade. La justice a son temps, rien ne justifie cette précipitation», a clamé Serigne Alioune Badara Sy Dabakh.
Il dit partager «cette douleur avec tous les sénégalais». Aux chefs religieux, confie-t-il, «je leur demande de mériter leur place et de ne pas tronquer la vérité de Dieu à l’argent, aux largesses de l’Etat, appartenant aux contribuables sénégalais». «Arrêtez de voler les deniers publics pour les offrir aux marabouts», peste le fils de Dabakh. Qui lance ce message aux jeunes: «A la jeunesse, je demande de ne pas se laisser insulter leur intelligence».
Le Grand Panel
A l’en croire, cette tension ne se justifie outre mesure. Pour la simple t bonne raison que «Ousmane Sonko n’est qu’une simple victime dans cette histoire». Et Serigne Alioune Badara Sy Dabakha de trancher: «Lignouko tek tégouniouko fèn, (Ndlr: on a fait du tort à Sonko)».
«Ils ont diabolisé Ousmane Sonko, sonena (il est éprouvé, fatigué). Louy diffamation (c’est quoi la diffamation)? Cette diffamation, dont ils parlent, été écrit dans un livre tout entier laissé à la postérité. Ils ont essayé de le faire tomber avec une première affaire qui s’est soldée par un échec. Et là , ils reviennent à la charge avec cette histoire de diffamation. Ils n’ont qu’à le laisser tranquille parce que personne ne peut aller à l’encontre de la volonté divine», a encore soutenu le fils de Dabakh, très colère contre tous ceux qui sont responsables de cette tension politico-sociale.
A cet effet, il interpelle directement le président de la République, les chefs religieux et la jeunesse. «10 ou 11 ans derrière, le président Macky Sall n’aurait jamais cru qu’il serait président de la République. Et Dieu a décidé qu’il en sera ainsi. Aujourd’hui, il est face à l’histoire. Et je rappelle que, tout comme nos ancêtres, le Sénégal, qui nous a vu naitre, nous verra mourir. Et tout chef rendra compte devant Allah ! Que les autorités sachent qu’ils ne sont pas plus méritants que les autres, ni par naissance, ni par richesse.
Que Macky Sall prenne ses responsabilités et qu’il se ressaisisse avant qu’il soit trop tard. Je lui demande solennellement, avec tout le respect qu’il faut, de mettre fin à cette mascarade. La justice a son temps, rien ne justifie cette précipitation», a clamé Serigne Alioune Badara Sy Dabakh.
Il dit partager «cette douleur avec tous les sénégalais». Aux chefs religieux, confie-t-il, «je leur demande de mériter leur place et de ne pas tronquer la vérité de Dieu à l’argent, aux largesses de l’Etat, appartenant aux contribuables sénégalais». «Arrêtez de voler les deniers publics pour les offrir aux marabouts», peste le fils de Dabakh. Qui lance ce message aux jeunes: «A la jeunesse, je demande de ne pas se laisser insulter leur intelligence».
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