Vendredi dernier, Mahamat Ahmat Alhabo circule avec son chauffeur sur la place de la nation, en face de la présidence tchadienne quand il décide de stopper son véhicule pour identifier l’homme à moto qui le suit depuis plusieurs jours. L’inconnu abandonne sa motocyclette et s’enfuit. Le même jour, le leader politique reçoit une convocation adressée avec l’immatriculation de sa voiture.
Et ce mardi, en se présentant au commissariat du deuxième arrondissement, Mahamat Ahmat Alhabo découvre qu’un agent chargé de le suivre demande réparation parce que, en essayant de tout faire pour ne pas être reconnu alors que la voiture de l’opposant s’est arrêtée, il s’est blessé et attribue le préjudice à l’homme politique.
Mahamat Ahmat Alhabo, qui estime qu’il s’agit là d’une violation de son droit constitutionnel de circuler librement, a demandé que l’affaire soit transmise au procureur de la République pour comprendre pourquoi des hommes à moto doivent le suivre dans tous ses mouvements alors qu’il n’est pas mis en examen.
Et ce mardi, en se présentant au commissariat du deuxième arrondissement, Mahamat Ahmat Alhabo découvre qu’un agent chargé de le suivre demande réparation parce que, en essayant de tout faire pour ne pas être reconnu alors que la voiture de l’opposant s’est arrêtée, il s’est blessé et attribue le préjudice à l’homme politique.
Mahamat Ahmat Alhabo, qui estime qu’il s’agit là d’une violation de son droit constitutionnel de circuler librement, a demandé que l’affaire soit transmise au procureur de la République pour comprendre pourquoi des hommes à moto doivent le suivre dans tous ses mouvements alors qu’il n’est pas mis en examen.