Après d’ultimes négociations, ce lundi 6 janvier en fin de journée, au cours desquelles le gouvernement a tenté de désamorcer le mot d’ordre de grève, les travailleurs indiquent qu’ils vont débrayer malgré tout, mardi matin, en changeant de tactique tous les trois jours.
«Si nous faisons cette semaine trois jours de grève, nous devons réfléchir. Est-ce que cette grève doit être accompagnée par un sit-in ? Est-ce qu’elle sera accompagnée par la marche ?... et ainsi de suite de manière à ce que l’on ne fasse pas toutes les choses à la fois», suggère Barka Michel, porte-parole de la plateforme syndicale revendicative.
Le gouvernement - qui pointe l’illégalité du mouvement - déplore l’attitude des syndicats qui décident d’arrêter le travail alors que les négociations se poursuivent.
Vendredi dernier et ce lundi, le gouvernement a proposé un rétablissement graduel à hauteur de 15 % des primes et indemnités coupées. « Très peu », ont répondu en chœur les travailleurs qui ont décidé, ce faisant, de mettre le gouvernement sous pression.
«Si nous faisons cette semaine trois jours de grève, nous devons réfléchir. Est-ce que cette grève doit être accompagnée par un sit-in ? Est-ce qu’elle sera accompagnée par la marche ?... et ainsi de suite de manière à ce que l’on ne fasse pas toutes les choses à la fois», suggère Barka Michel, porte-parole de la plateforme syndicale revendicative.
Le gouvernement - qui pointe l’illégalité du mouvement - déplore l’attitude des syndicats qui décident d’arrêter le travail alors que les négociations se poursuivent.
Vendredi dernier et ce lundi, le gouvernement a proposé un rétablissement graduel à hauteur de 15 % des primes et indemnités coupées. « Très peu », ont répondu en chœur les travailleurs qui ont décidé, ce faisant, de mettre le gouvernement sous pression.