Dans une interview accordée à nos confrères de "La Tribune", Tanor Tita Mbaye qui a commencé à chanter dès l’âge de 8 ans, a fait un diagnostic sans complaisance de la musique sénégalaise.
Auparavant, l’ancien professeur a procédé à une définition étymologique du concept ‘’Mbalakh’’. D’abord, pour Tanor Tita Mbaye, le Mbalakh n’est pas une musique: c’est un langage. Le nom mbalakh vient d’un instrument qui accompagne la musique de beaucoup d’artistes sénégalais à savoir le tam-tam.
Le Sénégal ne faisait que de la salsa, une musique cubaine que Youssou Ndour a mélangée avec du tama qui a donné une musique métissée que l’on appelle le mbalakh. Le hic, c’est qu’il est rythmé de telle sorte qu’on peine à l’exporter. Mais c’est faisable si on le modernise. Il suffit de diminuer le sabar, d’augmenter les harmonies et de tout arranger au niveau des voix pour qu’il soit consommé à l’extérieur.
D’ailleurs, depuis quelques temps, on a remarqué qu’il y a un changement en ce sens comme le fait Viviane en ce moment, a constaté l’artiste-compositeur Tanor Tita Mbaye.
Tribune
Auparavant, l’ancien professeur a procédé à une définition étymologique du concept ‘’Mbalakh’’. D’abord, pour Tanor Tita Mbaye, le Mbalakh n’est pas une musique: c’est un langage. Le nom mbalakh vient d’un instrument qui accompagne la musique de beaucoup d’artistes sénégalais à savoir le tam-tam.
Le Sénégal ne faisait que de la salsa, une musique cubaine que Youssou Ndour a mélangée avec du tama qui a donné une musique métissée que l’on appelle le mbalakh. Le hic, c’est qu’il est rythmé de telle sorte qu’on peine à l’exporter. Mais c’est faisable si on le modernise. Il suffit de diminuer le sabar, d’augmenter les harmonies et de tout arranger au niveau des voix pour qu’il soit consommé à l’extérieur.
D’ailleurs, depuis quelques temps, on a remarqué qu’il y a un changement en ce sens comme le fait Viviane en ce moment, a constaté l’artiste-compositeur Tanor Tita Mbaye.
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