Jacques mon frère, parce que je t’ai connu et côtoyé. Je garde en mémoire ton sourire contagieux, ton élégance, ta distinction même, ton sens de l’humour, ta générosité, ton énergie débordante et ta brillante intelligence.
Tu m’appelais Couse. Parce que nos pères se connaissaient et s’appréciaient. Ils étaient des amis. Ma fille Fatou Binetou a pleuré à chaudes larmes parce que, je me souviens, elle t’aimait comme un père. Tu lui disais, alors qu’elle était adolescente, que « je réserve mon dernier Tango à ton mariage ».
Jacques mon frère, parce qu’au-delà de la camaraderie partisane, tu étais, d’égale humeur, un ami discret, un socialiste dans l’âme (étudiant socialiste, ancien Secrétaire général de l’Union régionale de Diourbel du Parti Socialiste), tu fais partie de ces hommes politiques qui ont marqué aussi bien l’histoire politique de la région de Diourbel que celle du Parti socialiste auquel tu as appartenu par la sincérité de ton engagement. C’est pourquoi, nous éprouvons une grande fierté à avoir cheminé avec un homme de ta trempe qui restera, pour l’éternité, une source d’inspiration, et pour le Parti socialiste et pour la nation tout entière, notamment sa jeunesse.
Député et maire de Diourbel, Magistrat de formation, avocat et juriste émérite, successivement ministre du Tourisme et de l’Environnement, Garde des Sceaux, ministre de la Justice, ministre des affaires étrangères et des sénégalais de l’extérieur, il en fallait du caractère, de la compétence et de la passion, de l’expérience et de l’expertise, pour faire tout ce trajet avec brio et abnégation. La Nation t’en remercie avec les honneurs.
Mon frère Jacques, parce que dans mon cœur je sème déjà des roses pour toi. Je ne te pleure pas, parce qu’aujourd’hui plus qu’hier tu demeures dans nos cœurs par l’exemplarité et le dévouement qui étaient tes empreintes.
Repose en paix, mon frère Jacques, et de là -haut prie pour nous encore pèlerins de la terre des mortels.
Ousmane Tanor DIENG,
Secrétaire Général du Parti Socialiste
Tu m’appelais Couse. Parce que nos pères se connaissaient et s’appréciaient. Ils étaient des amis. Ma fille Fatou Binetou a pleuré à chaudes larmes parce que, je me souviens, elle t’aimait comme un père. Tu lui disais, alors qu’elle était adolescente, que « je réserve mon dernier Tango à ton mariage ».
Jacques mon frère, parce qu’au-delà de la camaraderie partisane, tu étais, d’égale humeur, un ami discret, un socialiste dans l’âme (étudiant socialiste, ancien Secrétaire général de l’Union régionale de Diourbel du Parti Socialiste), tu fais partie de ces hommes politiques qui ont marqué aussi bien l’histoire politique de la région de Diourbel que celle du Parti socialiste auquel tu as appartenu par la sincérité de ton engagement. C’est pourquoi, nous éprouvons une grande fierté à avoir cheminé avec un homme de ta trempe qui restera, pour l’éternité, une source d’inspiration, et pour le Parti socialiste et pour la nation tout entière, notamment sa jeunesse.
Député et maire de Diourbel, Magistrat de formation, avocat et juriste émérite, successivement ministre du Tourisme et de l’Environnement, Garde des Sceaux, ministre de la Justice, ministre des affaires étrangères et des sénégalais de l’extérieur, il en fallait du caractère, de la compétence et de la passion, de l’expérience et de l’expertise, pour faire tout ce trajet avec brio et abnégation. La Nation t’en remercie avec les honneurs.
Mon frère Jacques, parce que dans mon cœur je sème déjà des roses pour toi. Je ne te pleure pas, parce qu’aujourd’hui plus qu’hier tu demeures dans nos cœurs par l’exemplarité et le dévouement qui étaient tes empreintes.
Repose en paix, mon frère Jacques, et de là -haut prie pour nous encore pèlerins de la terre des mortels.
Ousmane Tanor DIENG,
Secrétaire Général du Parti Socialiste