D’après L’OBS, tout est parti d’une information parvenue aux limiers du Commissariat central de Tambacounda, faisant d’un vaste réseau de proxénétisme tenu par des Nigérianes.
Le réseau de proxénètes bénéficiait de la complicité du propriétaire de la maison où elles logeaient. La vingtaine de filles de joie s’adonnaient à la prostitution, entre 20 h et 3 h du matin. Elles ont été rapatriées du Nigéria par la proxénète nigérianne en chef.
Les mises en cause ainsi que leur complice, le vieux Macalou, ont été déférés au parquet, avant d’être placées sous mandat de dépôt. Ils seront tous jugés mercredi prochain devant le tribunal correctionnel de Tambacounda.
Le réseau de proxénètes bénéficiait de la complicité du propriétaire de la maison où elles logeaient. La vingtaine de filles de joie s’adonnaient à la prostitution, entre 20 h et 3 h du matin. Elles ont été rapatriées du Nigéria par la proxénète nigérianne en chef.
Les mises en cause ainsi que leur complice, le vieux Macalou, ont été déférés au parquet, avant d’être placées sous mandat de dépôt. Ils seront tous jugés mercredi prochain devant le tribunal correctionnel de Tambacounda.