‘’J’ai fait des erreurs et je l’admets’’. L’on dit qu’une faute avouée est à moitié pardonnée. Mais dans le cas de Nogi Dieng, la faute pourrait être entièrement pardonnée car, non seulement elle a convoqué la repentance, mais elle a fait amende honorable. Pourquoi ? Parce qu’elle a eu le courage de tourner le dos , à temps, à une vie chimérique fête d’ors et de paillettes et revenir au pays pour prêcher le bon exemple et la conduite qu’il faut tenir auprès de celles qui voudraient suivre ses pas. En outre, elle n’a pas manqué l’occasion d’insister sur l’importance des études dans la vie des jeunes personnes.
Plusieurs fois au cours de l’interview, rondement menée par Tange, la nouvelle icône de la presse people, elle n’a cessé d’évoquer des péchés de jeunesse et de demander pardon. A notre avis, faire des péchés de jeunesse et arriver à s’en départir à temps, vaut mieux que se conforter dans des écarts de vieillesse.
Ce qui est louable dans la démarche de Nogi ( Nogaye ), c’est la décision qu’elle a prise de revenir dans son pays et d’y investir afin de contribuer à la résorption du chômage.
Vivement qu’une telle démarche puisse servir d’exemple à une jeunesse envoûtée par les sirènes du départ vers l’inconnu où persistent les pièges multiples de la vie.
Baye ASS (© Gawlo.net)