En conférence de presse, le mercredi 09 mars 2022,au siège du CUSEMS qui se trouve à la cité Soprim ,les deux syndicats d'enseignants, le SAEMS et le CUSEMS, par la voix de leurs secrétaires généraux, Saourou Séne et Abdoulaye Ndoye, ont confirmé avoir signé le protocole d'accords avec l'Etat du Sénégal. Cette décision a été prise après la consultation de leur base respective selon les deux syndicalistes.
A cette occasion, ils ont également partagé avec l'opinion publique, les accords signés avec le gouvernement.
Faudrait-il le rappeler dans leur plateforme, figurent la revalorisation de la rémunération des enseignants, l'achèvement du processus de dématérialisation des actes et procédures de la fonction publique dès la fin du premier semestre de 2022 ainsi que l'immatriculation des entrants dans les écoles de formation.
Les organisations syndicales exigent aussi la reprise des virements des prêts logements octroyés aux fonctionnaires grâce au partenariat scellé avec les banques. Les syndicalistes demandent, en outre, l'intégration des sortants du CNEPS déjà titulaires de CAPCEM EPS et l'inscription d'un fonds de 150 milliards de Fcfa pour l'apurement des rappels dus aux enseignants dans le budget de 2023.
Du reste, les deux organisations syndicales invitent les organisations de la société civile et les associations de parents d'élèves à travailler davantage à amener l'Etat à respecter ses engagements.
Toutefois, le SAEMS et le CUSEMS ont reconnu que les acquis obtenus grâce à l'unité d'action.
Par ailleurs, Saourou Séne et Abdoulaye Ndoye ont tenu à préciser que le mot d'ordre de grève n'est pas levé mais suspendu. Par conséquent, si les accords ne sont pas respectés, les organisations syndicales n'hésiteront pas à décréter un nouveau mot d'ordre de grève. Rapporte Vipeoples .
Toutefois, le SAEMS et le CUSEMS ont reconnu que les acquis obtenus grâce à l'unité d'action.
Par ailleurs, Saourou Séne et Abdoulaye Ndoye ont tenu à préciser que le mot d'ordre de grève n'est pas levé mais suspendu. Par conséquent, si les accords ne sont pas respectés, les organisations syndicales n'hésiteront pas à décréter un nouveau mot d'ordre de grève. Rapporte Vipeoples .