Ces travailleurs qui en sont à leur énième grève de la faim, percevront-ils enfin leurs indemnités qu'ils réclament depuis bientôt trois décennies ? L’État tiendra-t-il enfin parole en réglant définitivement cette injustice sociale qui dure et perdure ?
Parce que ce n'est pas la première fois que ces ex-travailleurs suspendent leur grève de la faim sur la base de promesses fermes, pour ensuite se voir laissés à quai
Vraiment, il est grand temps aujourd'hui que l’État respecte ses engagements, parce que le calvaire de ces chefs de famille a trop duré. Parce que, malgré les innombrables promesses, ce régime n'aura pas fait mieux que le précédent.
Pourtant, en 2016, suite à une réunion interministérielle, Boun Abdallah Dionne, Pm d'alors, avait lors de cette rencontre avec les ex-travailleurs des sociétés dissoutes, au nom de la continuité de l’État, promis de diligenter le problème et défini plusieurs modalités au cas par cas.
Aussi, avait-il engagé son ministre du Budget à payer aux ayants-droits de ces sociétés la Sias, la Sotrac etc. leurs indemnités. Mais ces ex-travailleurs des sociétés dissoutes constatent aujourd'hui pour le déplorer qu'à ce jour, aucun des engagements pris n'a été respecté.
Avec Tribune
Parce que ce n'est pas la première fois que ces ex-travailleurs suspendent leur grève de la faim sur la base de promesses fermes, pour ensuite se voir laissés à quai
Vraiment, il est grand temps aujourd'hui que l’État respecte ses engagements, parce que le calvaire de ces chefs de famille a trop duré. Parce que, malgré les innombrables promesses, ce régime n'aura pas fait mieux que le précédent.
Pourtant, en 2016, suite à une réunion interministérielle, Boun Abdallah Dionne, Pm d'alors, avait lors de cette rencontre avec les ex-travailleurs des sociétés dissoutes, au nom de la continuité de l’État, promis de diligenter le problème et défini plusieurs modalités au cas par cas.
Aussi, avait-il engagé son ministre du Budget à payer aux ayants-droits de ces sociétés la Sias, la Sotrac etc. leurs indemnités. Mais ces ex-travailleurs des sociétés dissoutes constatent aujourd'hui pour le déplorer qu'à ce jour, aucun des engagements pris n'a été respecté.
Avec Tribune