Il ressort que les détenus provisoires représentent 85% de l’effectif global, avec une très grande concentration des inculpés.Trois exemples patents Adama Kandé 4 ans, Mor Seck 4 ans, Pape Djibril Ngom 4 ans, sont tous en détention à la Mac de Mbour. Ceci explique par la forte criminalité du département à Mbour mais aussi par le manque de magistrats-instructeurs et de substituts du procureur pour la célérité dans le traitement des dossiers d’instruction. Cette situation s’explique par le fait que l’érection du TI de Mbour en TGI, s’est fait dans la précipitation, sans mesure d’accompagnement. On a mis les charrues avant les bœufs.
Les magistrats n’ont pas de locaux dignes et travaillent dans des conditions très difficiles. Cette situation précaire se répercute inéluctablement dans la prison, avec une forte surpopulation carcérale. Heureusement que l’administration pénitentiaire a anticipé, en construisant un nouveau secteur pouvant abriter 300 détenus supplémentaires mais malgré tous ces efforts consentis par la DAP, la situation reste la même.
Le TGI de Mbour est un bâtiment loué avec des bureaux indignes de magistrats. Cette situation difficile pousse certains détenus à s’évader de prison à chaque fois que l’occasion se présente et 29 évasions sont enregistrées à Mbour.
 Les évasions un problème d’ordre sécuritaire
 Sécurité passif le bâtiment
 Sécurité active le personnel
Par ailleurs, l’ASRED informe qu’un groupe de détenus sont actuellement en grève de la faim à la prison du Camp pénal Liberté 6 depuis ce matin. Ces derniers dénoncent une maltraitance qu’a subi un détenu de ladite prison, qui a été tabassé par un agent, parce que ce dernier détenait par devers lui un téléphone. Dans de pareilles situations, la sanction devrait être l’application du décret n° 362 du 4 Mai 2001 relatif au procédure d’exécution et d’aménagement des sanctions pénales qui fixe le règlement des établissements pénitentiaires, mais pas le frapper et nous dénonçons jusqu’à la dernière énergie, l’attitude de l’agent qui a exercé cette violence sur ce détenu, qui est actuellement très souffrant, nous informent les détenus par téléphone.
Si rien est fait, l’ASRED est dans l’obligation de saisir notre avocat Me Moussa Sarr, pour une poursuite judiciaire contre l’agent. L’ASRED ne va jamais accepter qu’un agent lève la main sur un détenu. L’ASRED est en porte-à -faux avec les pratiques du retour de parquet ,qui constitue une violation flagrante des principes de base, qui régissent la procédure pénale.
Les magistrats n’ont pas de locaux dignes et travaillent dans des conditions très difficiles. Cette situation précaire se répercute inéluctablement dans la prison, avec une forte surpopulation carcérale. Heureusement que l’administration pénitentiaire a anticipé, en construisant un nouveau secteur pouvant abriter 300 détenus supplémentaires mais malgré tous ces efforts consentis par la DAP, la situation reste la même.
Le TGI de Mbour est un bâtiment loué avec des bureaux indignes de magistrats. Cette situation difficile pousse certains détenus à s’évader de prison à chaque fois que l’occasion se présente et 29 évasions sont enregistrées à Mbour.
 Les évasions un problème d’ordre sécuritaire
 Sécurité passif le bâtiment
 Sécurité active le personnel
Par ailleurs, l’ASRED informe qu’un groupe de détenus sont actuellement en grève de la faim à la prison du Camp pénal Liberté 6 depuis ce matin. Ces derniers dénoncent une maltraitance qu’a subi un détenu de ladite prison, qui a été tabassé par un agent, parce que ce dernier détenait par devers lui un téléphone. Dans de pareilles situations, la sanction devrait être l’application du décret n° 362 du 4 Mai 2001 relatif au procédure d’exécution et d’aménagement des sanctions pénales qui fixe le règlement des établissements pénitentiaires, mais pas le frapper et nous dénonçons jusqu’à la dernière énergie, l’attitude de l’agent qui a exercé cette violence sur ce détenu, qui est actuellement très souffrant, nous informent les détenus par téléphone.
Si rien est fait, l’ASRED est dans l’obligation de saisir notre avocat Me Moussa Sarr, pour une poursuite judiciaire contre l’agent. L’ASRED ne va jamais accepter qu’un agent lève la main sur un détenu. L’ASRED est en porte-à -faux avec les pratiques du retour de parquet ,qui constitue une violation flagrante des principes de base, qui régissent la procédure pénale.