D’après lui, le nombre de pensionnaires qui y séjournent en ce moment dépasse de loin l'effectif autorisé.
« La vérité, c'est qu'ils essaient de cacher les conditions pénibles des détenus et ça nous le savons tous. Il n'y a plus de place à Rebeuss et malgré ça, les autorités judiciaires continuent à y envoyer des personnes. Ce qui fait que le nombre de prisonniers qui y séjournent en ce moment dépasse largement l'effectif autorisé », a dénoncé le représentant d’Amnesty international au Sénégal.
Avant d’ajouter : « les détenus vivent dans une promiscuité extrême. C'est de la torture. Chaque jour, ils nous interpellent sur ça. Et on s’y attendait quand même parce que si on envoie des jeunes innocents qui n'ont commis ni crime ni délit, sur une base purement politique, on récolte ces conséquences. Cette situation risque de créer un sentiment de révolte, chose que nous ne souhaitons pas ».
« La vérité, c'est qu'ils essaient de cacher les conditions pénibles des détenus et ça nous le savons tous. Il n'y a plus de place à Rebeuss et malgré ça, les autorités judiciaires continuent à y envoyer des personnes. Ce qui fait que le nombre de prisonniers qui y séjournent en ce moment dépasse largement l'effectif autorisé », a dénoncé le représentant d’Amnesty international au Sénégal.
Avant d’ajouter : « les détenus vivent dans une promiscuité extrême. C'est de la torture. Chaque jour, ils nous interpellent sur ça. Et on s’y attendait quand même parce que si on envoie des jeunes innocents qui n'ont commis ni crime ni délit, sur une base purement politique, on récolte ces conséquences. Cette situation risque de créer un sentiment de révolte, chose que nous ne souhaitons pas ».