"Depuis plus d'un siècle, nous vivons en France notre laïcité de manière tout à fait sereine", a-t-elle déclaré sur TF1 dans l'émission "Vie politique". "Ça n'était pas dans le débat public, parce que personne ne contestait que la France a des racines chrétiennes (...) laïcisées par le siècle des Lumières".
Invitée à dire si l'islam était compatible avec la République, elle a répondu: "Moi, je crois que oui. Un islam tel que nous l'avons connu, laïcisé par les Lumières comme les autres religions", a-t-elle dit, disant "lutter contre le fondamentalisme islamiste".
Interrogée pour savoir pourquoi certains Français de culture musulmane ne semblaient pas convaincus d'être inclus dans son slogan de "la France apaisée", la présidente du parti d'extrême droite a répondu: "On ne cesse de dire que nous allons opérer une discrimination à leur égard. Merci de me permettre de trancher la tête de ce canard. Notre politique ne vise en aucune manière à opérer des discriminations, nous défendons tous les Français".
"Je crois à l'apaisement par l'autorité", a déclaré la fille de Jean-Marie Le Pen. "Lorsqu'il n'y a pas d'autorité (...) lorsque ceux qui sont sur notre territoire ne savent même pas ce que l'on attend d'eux et ce qui leur est interdit, on met en place les germes de conflits qui s'aggravent", a-t-elle plaidé.
"Nos responsables politiques ont joué avec ce concept des Français musulmans pour se chercher un électorat. Ils ont violé eux-mêmes, ces responsables politiques, la loi de 1905. Ils ont financé des mosquées. Ils ont accepté à la tête de l'Etat des financements étrangers de pays dont on sait qu'ils viennent en réalité pour faire une guerre au sein même de la religion musulmane", a-t-elle dénoncé.
"Il faut siffler la fin de la récréation, et la première des règles (...) est qu'il n'y a aucune loi au dessus de la Constitution et de la loi française", a-t-elle insisté.
AVEC AFP
Invitée à dire si l'islam était compatible avec la République, elle a répondu: "Moi, je crois que oui. Un islam tel que nous l'avons connu, laïcisé par les Lumières comme les autres religions", a-t-elle dit, disant "lutter contre le fondamentalisme islamiste".
Interrogée pour savoir pourquoi certains Français de culture musulmane ne semblaient pas convaincus d'être inclus dans son slogan de "la France apaisée", la présidente du parti d'extrême droite a répondu: "On ne cesse de dire que nous allons opérer une discrimination à leur égard. Merci de me permettre de trancher la tête de ce canard. Notre politique ne vise en aucune manière à opérer des discriminations, nous défendons tous les Français".
"Je crois à l'apaisement par l'autorité", a déclaré la fille de Jean-Marie Le Pen. "Lorsqu'il n'y a pas d'autorité (...) lorsque ceux qui sont sur notre territoire ne savent même pas ce que l'on attend d'eux et ce qui leur est interdit, on met en place les germes de conflits qui s'aggravent", a-t-elle plaidé.
"Nos responsables politiques ont joué avec ce concept des Français musulmans pour se chercher un électorat. Ils ont violé eux-mêmes, ces responsables politiques, la loi de 1905. Ils ont financé des mosquées. Ils ont accepté à la tête de l'Etat des financements étrangers de pays dont on sait qu'ils viennent en réalité pour faire une guerre au sein même de la religion musulmane", a-t-elle dénoncé.
"Il faut siffler la fin de la récréation, et la première des règles (...) est qu'il n'y a aucune loi au dessus de la Constitution et de la loi française", a-t-elle insisté.
AVEC AFP