Plus de 150 000 candidats sont soumis, depuis hier, aux épreuves du baccalauréat. Hier matin, les candidats ont eu à traiter les sujets de littérature, avec quelques minutes de retard. Les épreuves d’anglais sont relatives à l’émigration clandestine et le vécu des réfugiés en Europe. Celles d’Espagnol portent sur les dispositions prises dans les frontières pour faire face au terrorisme.
Selon le quotidien EnQuête du jour, au lycée mixte Maurice DelaFosse, les surveillants vont d’un coin à l’autre des salles de classe et des couloirs. Les derniers réglages pour les fiches de remplissage se font. Le Président Nalla Fall, du jury 981, veille à la rigueur et à la transparence pour un bon déroulement des examens. « Jusqu’à 11 heures, il n’y a pas de problèmes à signaler. Il y a eu un peu de retard du fait de l’arrivée un peu tardive de quelques surveillants. On a commencé à 8h 30mn au lieu de 7h 45mn comme prévu », confie M. Fall.
Il faut attendre 11 heures passées de quelques minutes pour voir les premières silhouettes des candidats. Quatre jeunes filles sont déjà dans la cour. Elles discutent à voix basse et sourient. Petit à petit, leurs camarades sortent et forment de petits groupes de discussion. Beaucoup d’élèves rencontrés aux lycées Maurice Delafosse et Seydou Nourou Tall déclarent avoir choisi le sujet portant sur l’émigration clandestine.
Au lycée Seydou Nourou Tall, « les examens se déroulent correctement, il n’y a rien à signaler. Les candidats sont venus à l’heure, les surveillants sont venus en nombre suffisant. On a pu mettre deux surveillants par salle. Des salles de correction ont été aménagées pour les correcteurs », renseigne-t-on. Pour le dispositif, tout est en place. Pour le premier jour, les candidats ont la possibilité de choisir leur Lv1. Anglais, espagnol et arabe de 8h à 11h. 906 candidats sont en mesures de répondre présent dans ce centre réparti en trois jurys.
Pour Aida Diagne, « c’était abordable mais on ne peut pas s’aventurer à dire que nous avons bien travaillé ou non ». Sa copine préfère garder l’anonymat soutient que c’était plus ou moins abordable. Raissa, cette candidate au jury 976, avoue que le sujet qu’elle a choisi et qui porte sur l’émigration clandestine et abordable. « C’est facile pour ceux qui comprennent l’anglais. En tout cas mois, j’ai trop souffert », a-t-elle soutenu.
Selon le quotidien EnQuête du jour, au lycée mixte Maurice DelaFosse, les surveillants vont d’un coin à l’autre des salles de classe et des couloirs. Les derniers réglages pour les fiches de remplissage se font. Le Président Nalla Fall, du jury 981, veille à la rigueur et à la transparence pour un bon déroulement des examens. « Jusqu’à 11 heures, il n’y a pas de problèmes à signaler. Il y a eu un peu de retard du fait de l’arrivée un peu tardive de quelques surveillants. On a commencé à 8h 30mn au lieu de 7h 45mn comme prévu », confie M. Fall.
Il faut attendre 11 heures passées de quelques minutes pour voir les premières silhouettes des candidats. Quatre jeunes filles sont déjà dans la cour. Elles discutent à voix basse et sourient. Petit à petit, leurs camarades sortent et forment de petits groupes de discussion. Beaucoup d’élèves rencontrés aux lycées Maurice Delafosse et Seydou Nourou Tall déclarent avoir choisi le sujet portant sur l’émigration clandestine.
Au lycée Seydou Nourou Tall, « les examens se déroulent correctement, il n’y a rien à signaler. Les candidats sont venus à l’heure, les surveillants sont venus en nombre suffisant. On a pu mettre deux surveillants par salle. Des salles de correction ont été aménagées pour les correcteurs », renseigne-t-on. Pour le dispositif, tout est en place. Pour le premier jour, les candidats ont la possibilité de choisir leur Lv1. Anglais, espagnol et arabe de 8h à 11h. 906 candidats sont en mesures de répondre présent dans ce centre réparti en trois jurys.
Pour Aida Diagne, « c’était abordable mais on ne peut pas s’aventurer à dire que nous avons bien travaillé ou non ». Sa copine préfère garder l’anonymat soutient que c’était plus ou moins abordable. Raissa, cette candidate au jury 976, avoue que le sujet qu’elle a choisi et qui porte sur l’émigration clandestine et abordable. « C’est facile pour ceux qui comprennent l’anglais. En tout cas mois, j’ai trop souffert », a-t-elle soutenu.