Dans sa plainte dévoilée par "Les Echos", Ousmane Sonko vise plusieurs infractions pénales : association de malfaiteurs, tentative d’escroquerie à jugement, atteinte à l’administration de la justice, tentative de corruption active et subordination de témoin.
L’opposant a expliqué que Me So est le beau-frère de Mamour Diallo, « un autre des acteurs » du complot. Il soulignera, ainsi, dans sa plainte, que Me So, après avoir nié au début de l’affaire, a fini par reconnaître avoir donné des conseils à Adji Sarr qui n’était pas sa cliente. Ce, une semaine avant le déclenchement de l’affaire, en février 2021.
Selon toujours Ousmane Sonko, le gynécologue Alphousseyni Gaye aurait accusé Me So d’avoir tenté de le corrompre, en lui proposant, via son assistante, une importante somme d’argent afin qu’il produise un certificat médical de complaisance, attestant la thèse du viol. Le même gynécologue, enfonce-t-il le clou, aurait déclaré devant le Doyen des juges, Oumar Maham Diallo, qu’il fait l’objet de « pressions intenses » de la part de Me So et de Mamour Diallo. Ces derniers, accuse-t-il, voulait contrôler le contenu du certificat médical.
Le plaignant a aussi relevé des échanges téléphoniques entre Me So, Adji Sarr et Sidy Ahmed Mbaye. Une façon pour lui de prouver que l’avocat et ses présumés complices, sachant qu’il fréquentait le salon Sweet Beauté, ont voulu monter un dossier fictif de viol contre lui.
senenews
L’opposant a expliqué que Me So est le beau-frère de Mamour Diallo, « un autre des acteurs » du complot. Il soulignera, ainsi, dans sa plainte, que Me So, après avoir nié au début de l’affaire, a fini par reconnaître avoir donné des conseils à Adji Sarr qui n’était pas sa cliente. Ce, une semaine avant le déclenchement de l’affaire, en février 2021.
Selon toujours Ousmane Sonko, le gynécologue Alphousseyni Gaye aurait accusé Me So d’avoir tenté de le corrompre, en lui proposant, via son assistante, une importante somme d’argent afin qu’il produise un certificat médical de complaisance, attestant la thèse du viol. Le même gynécologue, enfonce-t-il le clou, aurait déclaré devant le Doyen des juges, Oumar Maham Diallo, qu’il fait l’objet de « pressions intenses » de la part de Me So et de Mamour Diallo. Ces derniers, accuse-t-il, voulait contrôler le contenu du certificat médical.
Le plaignant a aussi relevé des échanges téléphoniques entre Me So, Adji Sarr et Sidy Ahmed Mbaye. Une façon pour lui de prouver que l’avocat et ses présumés complices, sachant qu’il fréquentait le salon Sweet Beauté, ont voulu monter un dossier fictif de viol contre lui.
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