Le journal « L'Observateur »du 18 Mai 2015, une page entière a été consacrée à des articles scandaleux concernant l'affaire Habré. Ces articles volontairement injurieux et violents entrent dans le cadre de la campagne de diffamation et de manipulation de l'opinion, préparée en concertation avec les organes de communication des CAE et des ONG impliquées dans l’affaire Habré.
Si l'on relève que tous les plaignants dans cette affaire, ont eu l'opportunité de saisir les juges des CAE et par conséquent, de voir leur cause entendue. On se demande pourquoi, alors que le procès est annoncé, commence t-on la diffusion de témoignages exclusivement à charge, et dont on ne peut prouver la véracité ? L'intention de nuire du journaliste est manifeste et la violation de ses devoirs professionnels est incontestable.
Les liens entre certains organes de presse et les organes des CAE ont été reconnus par M. Marcel Mendy qui a déclaré lors d'un point de presse : "Tous les organes de presse qui se sont déplacés au Tchad travaillent avec les CAE.". C'est dire que l’achat de la ligne éditoriale de ces medias est totalement assumée et affichée de part et d’autre d’ailleurs, comme l’en atteste le chapeau introductif dans la page du journal !
La publication de témoignages hallucinants, démentiels dont la véracité n'a pas été vérifiée ni par le journaliste ni par les juges, est une atteinte grave à la présomption d'innocence du Président Habré mais aussi et surtout participe, de manière insidieuse, à installer dans l'opinion, la monstruosité juridique inventée par le Ministre de la justice M. Sidiki Kaba, à savoir la "présomption de culpabilité" du Président Habré.
Ces articles diffamatoires confectionnés avec l'aide des organes de communication des CAE et des ONG internationales, nationales et tchadiennes démontrent que la réalité des infractions n’a pas été prouvée et c'est la raison pour laquelle, on lance des campagnes médiatiques en direction de l'opinion dans le but de formater les esprits et de contribuer à la justification d'une condamnation achetée d'avance.
La défense a saisi, depuis plus d'un an, le CORED (Comité d’Observation des Règles d’Ethique et de Déontologie) pour qu'il se prononce sur cette collusion entre certains médias et les organes des CAE et les ONG.
Le journal « l’Observateur » est, lui aussi, passé aux aveux tout seul : son épopée diffamatoire au Tchad est une mission commandée et payée par des parties engagées dans l’affaire Habré. La défense le souligne à l’attention du CORED dont elle attend toujours la position par rapport à sa saisine.
La défense note que cette campagne violente et ignoble s'organise aussi, autour de la cueillette d'avis favorables d'hommes et de femmes politiques sur le procès françafricain qui se prépare. Décidément, on recherche désespérément soutien et allégeance, c’est bien la preuve de leur isolement.
Le journal a, ainsi, fait parler Mme Aminata Touré, éclaboussée par le faux qu'elle a produit dans le processus de création des CAE, celle-ci est bien mal placée pour parler d'impunité, elle, qui a refusé de se présenter devant la justice de son pays, et dire qu’elle a été ministre de la justice.
Hissée du fond du puits par la corde politique et par la distribution automatique d’immunités factices qui ont fini de jeter le discrédit sur la justice sénégalaise. Mme Touré ne pourra jamais effacer sa contribution par le mensonge dans l'affaire Habré. La Vérité, elle, restera collée à son dos, à jamais.
Oui ! Nous pensons utile de rappeler que le Président Hissein Habré a aussi droit que justice lui soit rendue dans la confection du faux « pleins pouvoirs ».
Quand une caste politique s'organise comme une pieuvre avec ses tentacules pour étouffer le Droit, refuser l'accès à la justice au Président Habré, recruter à coups de pétrodollars dans de nombreux secteurs et distribuer à tour de bras des "immunités imaginaires" ou mieux, juger que ces fausses immunités sont transmissibles à d'autres complices et ainsi de suite, de façon à ce que tous les participants à la chaîne du complot soit comme un ensemble d’anneaux à qui on a garanti une totale impunité pour les motiver à commettre tous les abus et dérives. Nous venons de le voir avec l’anneau “L’Observateur”. Sommes-nous toujours dans un État de Droit ?
La Défense du Président Habré
Si l'on relève que tous les plaignants dans cette affaire, ont eu l'opportunité de saisir les juges des CAE et par conséquent, de voir leur cause entendue. On se demande pourquoi, alors que le procès est annoncé, commence t-on la diffusion de témoignages exclusivement à charge, et dont on ne peut prouver la véracité ? L'intention de nuire du journaliste est manifeste et la violation de ses devoirs professionnels est incontestable.
Les liens entre certains organes de presse et les organes des CAE ont été reconnus par M. Marcel Mendy qui a déclaré lors d'un point de presse : "Tous les organes de presse qui se sont déplacés au Tchad travaillent avec les CAE.". C'est dire que l’achat de la ligne éditoriale de ces medias est totalement assumée et affichée de part et d’autre d’ailleurs, comme l’en atteste le chapeau introductif dans la page du journal !
La publication de témoignages hallucinants, démentiels dont la véracité n'a pas été vérifiée ni par le journaliste ni par les juges, est une atteinte grave à la présomption d'innocence du Président Habré mais aussi et surtout participe, de manière insidieuse, à installer dans l'opinion, la monstruosité juridique inventée par le Ministre de la justice M. Sidiki Kaba, à savoir la "présomption de culpabilité" du Président Habré.
Ces articles diffamatoires confectionnés avec l'aide des organes de communication des CAE et des ONG internationales, nationales et tchadiennes démontrent que la réalité des infractions n’a pas été prouvée et c'est la raison pour laquelle, on lance des campagnes médiatiques en direction de l'opinion dans le but de formater les esprits et de contribuer à la justification d'une condamnation achetée d'avance.
La défense a saisi, depuis plus d'un an, le CORED (Comité d’Observation des Règles d’Ethique et de Déontologie) pour qu'il se prononce sur cette collusion entre certains médias et les organes des CAE et les ONG.
Le journal « l’Observateur » est, lui aussi, passé aux aveux tout seul : son épopée diffamatoire au Tchad est une mission commandée et payée par des parties engagées dans l’affaire Habré. La défense le souligne à l’attention du CORED dont elle attend toujours la position par rapport à sa saisine.
La défense note que cette campagne violente et ignoble s'organise aussi, autour de la cueillette d'avis favorables d'hommes et de femmes politiques sur le procès françafricain qui se prépare. Décidément, on recherche désespérément soutien et allégeance, c’est bien la preuve de leur isolement.
Le journal a, ainsi, fait parler Mme Aminata Touré, éclaboussée par le faux qu'elle a produit dans le processus de création des CAE, celle-ci est bien mal placée pour parler d'impunité, elle, qui a refusé de se présenter devant la justice de son pays, et dire qu’elle a été ministre de la justice.
Hissée du fond du puits par la corde politique et par la distribution automatique d’immunités factices qui ont fini de jeter le discrédit sur la justice sénégalaise. Mme Touré ne pourra jamais effacer sa contribution par le mensonge dans l'affaire Habré. La Vérité, elle, restera collée à son dos, à jamais.
Oui ! Nous pensons utile de rappeler que le Président Hissein Habré a aussi droit que justice lui soit rendue dans la confection du faux « pleins pouvoirs ».
Quand une caste politique s'organise comme une pieuvre avec ses tentacules pour étouffer le Droit, refuser l'accès à la justice au Président Habré, recruter à coups de pétrodollars dans de nombreux secteurs et distribuer à tour de bras des "immunités imaginaires" ou mieux, juger que ces fausses immunités sont transmissibles à d'autres complices et ainsi de suite, de façon à ce que tous les participants à la chaîne du complot soit comme un ensemble d’anneaux à qui on a garanti une totale impunité pour les motiver à commettre tous les abus et dérives. Nous venons de le voir avec l’anneau “L’Observateur”. Sommes-nous toujours dans un État de Droit ?
La Défense du Président Habré