“Chaque signalement de la disparition d'un migrant ou d'une perte de vie, représente une famille en deuil, qui cherche des réponses au sujet de ses proches ou qui reconnaît la tragédie de la perte. Le coût d'une action inadéquate est évident dans l'augmentation du nombre de décès humains et les conditions inquiétantes dans lesquelles se trouvent les migrants”, a indiqué dans le document, le porte-parole de l'OIM.
Cette tragédie, selon lui, "met en évidence le besoin urgent de relever les défis de la migration irrégulière, notamment en apportant une réponse coordonnée au trafic illicite de migrants et à la traite des personnes. En l'absence de voies régulières offrant des possibilités de migration légale, de telles tragédies continueront d'être une caractéristique le long de cette route”.
L'OIM apprécie, d’après la même source, l’enquête menée par les autorités libyennes sur ces décès et “les appelle, en collaboration avec les agences partenaires des Nations Unies, à assurer une récupération, une identification et un transfert dignes des restes des migrants décédés, ainsi qu'à informer et à aider leurs familles de manière appropriée".
Par ailleurs, selon le Missing Migrants Project, au moins 3 129 décès et disparitions ont été enregistrés en 2023, le long de la route méditerranéenne, la route migratoire la plus meurtrière, sans compter ce dernier incident évoqué en Libye.
D’après eux, “l'OIM en Libye, s'efforce de fournir une aide humanitaire à toutes les personnes vulnérables dans le besoin et de donner aux acteurs, les moyens de mener des activités de recherche et de sauvetage vitales dans le désert, conformément au droit international, en les formant aux obligations en matière de Droits de l'homme et en veillant à ce que leurs opérations de gestion des frontières soient axées sur la protection afin d'aider les plus vulnérables”.
L'OIM invite’, en outre, “tous les gouvernements et autorités situés le long de la route, à renforcer la coopération régionale, afin d'assurer la sécurité et la protection des migrants, quel que soit leur statut et à toutes les étapes de leur voyage”.
Cette tragédie, selon lui, "met en évidence le besoin urgent de relever les défis de la migration irrégulière, notamment en apportant une réponse coordonnée au trafic illicite de migrants et à la traite des personnes. En l'absence de voies régulières offrant des possibilités de migration légale, de telles tragédies continueront d'être une caractéristique le long de cette route”.
L'OIM apprécie, d’après la même source, l’enquête menée par les autorités libyennes sur ces décès et “les appelle, en collaboration avec les agences partenaires des Nations Unies, à assurer une récupération, une identification et un transfert dignes des restes des migrants décédés, ainsi qu'à informer et à aider leurs familles de manière appropriée".
Par ailleurs, selon le Missing Migrants Project, au moins 3 129 décès et disparitions ont été enregistrés en 2023, le long de la route méditerranéenne, la route migratoire la plus meurtrière, sans compter ce dernier incident évoqué en Libye.
D’après eux, “l'OIM en Libye, s'efforce de fournir une aide humanitaire à toutes les personnes vulnérables dans le besoin et de donner aux acteurs, les moyens de mener des activités de recherche et de sauvetage vitales dans le désert, conformément au droit international, en les formant aux obligations en matière de Droits de l'homme et en veillant à ce que leurs opérations de gestion des frontières soient axées sur la protection afin d'aider les plus vulnérables”.
L'OIM invite’, en outre, “tous les gouvernements et autorités situés le long de la route, à renforcer la coopération régionale, afin d'assurer la sécurité et la protection des migrants, quel que soit leur statut et à toutes les étapes de leur voyage”.