La Plateforme de protection des lanceurs d’alerte en Afrique (Plaaf) a organisé une conférence publique, ce vendredi, pour revendiquer la mise en place du statut du lanceur d’alerte comme annoncé par le président de la République, Bassirou Diomaye Faye. Cette rencontre a vu la participation de la société civile, de juristes et de journalistes. «L’absence d’un cadre juridique adapté expose actuellement les lanceurs d’alerte à divers risques, allant de la répression à l’exil forcé», a affirmé la chargée de communication Marie Paule Conaré, relate Bes Bi.
La rencontre a été une occasion pour détailler la situation des lanceurs d’alerte en Afrique ou les pays francophones sont en avance dans ce domaine. 11 pays ont mis en application des lois de protection du statut de lanceur d’alerte. Cette rencontre a vu la participation du lanceur d’alerte Jean Jacques Lumumba qui a été contraint à l’exil après avoir dénoncé une affaire de corruption. Pour des menaces et représailles, le neveu de Patrice Lumumba s’est exilé en France.
La rencontre a été une occasion pour détailler la situation des lanceurs d’alerte en Afrique ou les pays francophones sont en avance dans ce domaine. 11 pays ont mis en application des lois de protection du statut de lanceur d’alerte. Cette rencontre a vu la participation du lanceur d’alerte Jean Jacques Lumumba qui a été contraint à l’exil après avoir dénoncé une affaire de corruption. Pour des menaces et représailles, le neveu de Patrice Lumumba s’est exilé en France.