Le président de la Banque Islamique de Développement (BID), Dr. Muhammad Sulaiman Al Jasser, accompagné du Directeur général de l’Office national de l’Assainissement du Sénégal (ONAS), Mamadou Mamour Diallo ont visité la station d’épuration de Cambérène, dont la mise en service est prévue dans les prochains mois. L’hôte du Dg de l’Onas a constaté de lui-même, l’avancement des travaux.
Le nouveau Directeur général de l’Office national de l’assainissement du Sénégal (ONAS) Mamadou Mamour Diallo, conscient des enjeux liés à cette station, révèle que sa mise en service est prévue avant la fin du premier semestre. Ce qui veut dire qu’elle sera livrée d’ici la fin du mois de juin. « Les raisons de ce retard sont liées à des mesures prises à l’échelle internationale à cause de la Covid-19, qui ont impacté les activités des entreprises, ainsi que des retards enregistrés sur la livraison des équipements, matériaux et matériels à partir de l’Europe », dit-il.
Malgré les retards évoqués, le président de la Banque Islamique de Développement (BID), Dr. Muhammad Sulaiman Al Jasser, en visite sur les lieux a constaté l’état d’avancement du projet. D’après lui, les populations ont commencé à apprécier les retombées de ces ouvrages qui donnent espoir à une transformation sociale et des retombées positives dans cette zone. Ces genres d’ouvrages, indique-t-on, aideront à prévenir les maladies. Ainsi, il a fait savoir que la Banque Islamique de Développement (BID) est l’un des partenaires stratégiques du Sénégal dans le sous-secteur. « Le président de la République, Macky Sall a une grande ambition pour le Sénégal. Nous allons l’accompagner à réaliser d’autres ouvrages », a promis le Président de la BID.
Selon Mamour Diallo, le projet en question comprend, entre autres, un émissaire terrestre de 4,25 km et également, un émissaire de rejet en mer des eaux traitées de dernière génération, qui pourrait entrer dans le Guinness des réalisations en la matière, du fait de sa longueur de 1,2 km, de son diamètre de 2m et de la technologie de pointe avec laquelle, il a été réalisé. Il s’agit d’un projet utilitaire qui touche plus d’un million de Dakarois, le Sénégal et toute la sous-région africaine.
Cet ouvrage de traitement des eaux usées, reconnait-il, va permettre d’annihiler toutes les nuisances pouvant être générées par les installations, qu’elles soient olfactives, sonores, visuelles ou autres. Et, le système en place prévoit à la fois le traitement d’odeur et l’isolation phonique des bâtiments techniques bruyants.
A retenir que le projet est estimé à presque 42 milliards FCfa, financé à hauteur par la BID à 92% et de 8% par l’État du Sénégal. Le DG de l’Office national de l’Assainissement du Sénégal (Onas), rappelle le projet vise à satisfaire les besoins en traitement des eaux usées du système de Cambérène, évalués à 92 000 m3/jour. Et il permettra de satisfaire les besoins du bassin versant Nord de la ville de Dakar jusqu’à l’horizon 2041.
Le nouveau Directeur général de l’Office national de l’assainissement du Sénégal (ONAS) Mamadou Mamour Diallo, conscient des enjeux liés à cette station, révèle que sa mise en service est prévue avant la fin du premier semestre. Ce qui veut dire qu’elle sera livrée d’ici la fin du mois de juin. « Les raisons de ce retard sont liées à des mesures prises à l’échelle internationale à cause de la Covid-19, qui ont impacté les activités des entreprises, ainsi que des retards enregistrés sur la livraison des équipements, matériaux et matériels à partir de l’Europe », dit-il.
Malgré les retards évoqués, le président de la Banque Islamique de Développement (BID), Dr. Muhammad Sulaiman Al Jasser, en visite sur les lieux a constaté l’état d’avancement du projet. D’après lui, les populations ont commencé à apprécier les retombées de ces ouvrages qui donnent espoir à une transformation sociale et des retombées positives dans cette zone. Ces genres d’ouvrages, indique-t-on, aideront à prévenir les maladies. Ainsi, il a fait savoir que la Banque Islamique de Développement (BID) est l’un des partenaires stratégiques du Sénégal dans le sous-secteur. « Le président de la République, Macky Sall a une grande ambition pour le Sénégal. Nous allons l’accompagner à réaliser d’autres ouvrages », a promis le Président de la BID.
Selon Mamour Diallo, le projet en question comprend, entre autres, un émissaire terrestre de 4,25 km et également, un émissaire de rejet en mer des eaux traitées de dernière génération, qui pourrait entrer dans le Guinness des réalisations en la matière, du fait de sa longueur de 1,2 km, de son diamètre de 2m et de la technologie de pointe avec laquelle, il a été réalisé. Il s’agit d’un projet utilitaire qui touche plus d’un million de Dakarois, le Sénégal et toute la sous-région africaine.
Cet ouvrage de traitement des eaux usées, reconnait-il, va permettre d’annihiler toutes les nuisances pouvant être générées par les installations, qu’elles soient olfactives, sonores, visuelles ou autres. Et, le système en place prévoit à la fois le traitement d’odeur et l’isolation phonique des bâtiments techniques bruyants.
A retenir que le projet est estimé à presque 42 milliards FCfa, financé à hauteur par la BID à 92% et de 8% par l’État du Sénégal. Le DG de l’Office national de l’Assainissement du Sénégal (Onas), rappelle le projet vise à satisfaire les besoins en traitement des eaux usées du système de Cambérène, évalués à 92 000 m3/jour. Et il permettra de satisfaire les besoins du bassin versant Nord de la ville de Dakar jusqu’à l’horizon 2041.