«Un lotissement biaisé depuis 2012 à Saré Moussa Ndour, une parodie de recensement comportant des noms fictifs, des ventes clandestines de parcelles à usage d’habitation et expropriations d’occupants légitimes», entre autres, ont dénoncé, toutes griffes dehors, ces populations en colère lors d’un point de presse tenu le week-end dernier dans le quartier Gadapara de la commune de Kolda.
S’y ajoute «une centaine d’impactés du projet de réhabilitation de l’aéroport de Kolda» qui, de l’avis de leur porte-parole Famara Mané, ont été dépouillés de leurs champs et vergers sans la moindre indemnisation jusqu’à nos jours. Toutes choses qui font qu’ils ne veulent qu’une seule chose : la restitution de leurs terres.
«On n’est pas prêts de céder nos terres. C’est notre source de revenus. Car, c’est là où nous menons des activités agricoles pour nourrir nos familles», a insisté Famara Mané.
Avant de poursuivre que ces familles impactées sont déterminées à mener le combat jusqu’à ce qu’elles soient rétablies dans leurs droits. Dans les prochains jours, elles projettent d’organiser une série de manifestations, de porter plainte contre certaines personnes qu’elles considèrent comme étant des occupants illégaux de leurs lopins de terre.
Tout en invitant les autorités de la région à prendre en charge ce problème au plus vite, avant que ces populations «très en colère», ne passent à la vitesse supérieure dans le cadre de ce combat
S’y ajoute «une centaine d’impactés du projet de réhabilitation de l’aéroport de Kolda» qui, de l’avis de leur porte-parole Famara Mané, ont été dépouillés de leurs champs et vergers sans la moindre indemnisation jusqu’à nos jours. Toutes choses qui font qu’ils ne veulent qu’une seule chose : la restitution de leurs terres.
«On n’est pas prêts de céder nos terres. C’est notre source de revenus. Car, c’est là où nous menons des activités agricoles pour nourrir nos familles», a insisté Famara Mané.
Avant de poursuivre que ces familles impactées sont déterminées à mener le combat jusqu’à ce qu’elles soient rétablies dans leurs droits. Dans les prochains jours, elles projettent d’organiser une série de manifestations, de porter plainte contre certaines personnes qu’elles considèrent comme étant des occupants illégaux de leurs lopins de terre.
Tout en invitant les autorités de la région à prendre en charge ce problème au plus vite, avant que ces populations «très en colère», ne passent à la vitesse supérieure dans le cadre de ce combat