"Je suis choqué, indigné par les premières critiques portées contre le nouveau Président de la République avant même son installation. Nous l'avons élu largement, il est le choix des sénégalais, il est maintenant notre Président, que nous ayons voté pour lui ou pas.
Nous devons le respecter, l'encadrer pour qu'il sorte ce qu'il a de mieux en lui, son humilité et son empathie et l'aider à gommer ses défauts. Il va apprendre comme tout le monde et la qualité de ses décisions dépendra de la qualité de ses conseillers, de ses ministres et de son administration.
Mais des défauts il en restera toujours. Nous n'avons pas élu le bon Dieu".
Nous devons le respecter, l'encadrer pour qu'il sorte ce qu'il a de mieux en lui, son humilité et son empathie et l'aider à gommer ses défauts. Il va apprendre comme tout le monde et la qualité de ses décisions dépendra de la qualité de ses conseillers, de ses ministres et de son administration.
Mais des défauts il en restera toujours. Nous n'avons pas élu le bon Dieu".