Les quartiers Montagne-Centrale, Diabé-Guidé, Fandalé, Ndiayega et une partie des HLM sont particulièrement touchés. Leurs habitants n’ayant d’autre choix que de passer des nuits blanches à attendre que l’eau recommence à couler des robinets.
« Depuis une semaine, c’est comme ça. L’eau ne coule plus des robinets qu’entre 02 heures et 06 h du matin. On veille avec nos enfants qui doivent aussi aller à l’école », déplore Fayèle Sy, une habitante du quartier Montage-Centrale.
Situé en altitude, ce quartier souffre depuis longtemps d’un problème de manque d’eau.
« Parfois, il faut attendre que Grimpalé [quartier voisin] s’approvisionne, pour que la pression puisse monter jusqu’à chez nous », explique Cissokho, un père de famille.
« Ils ont créé un forage depuis plusieurs années pour nous soulager, mais il ne fonctionne toujours pas. La journée on est obligé d’acheter de l’eau dans les autres quartiers », confie-t-il.
Il regrette la cherté des factures d’eau malgré une faible consommation du liquide précieux en cette période.
Mamadou Cissokho, un habitant de Montagne-Centrale, dit avoir remarqué la situation depuis près d’un an dans ce quartier. Il dit être obligé d’aller jusqu’au quartier Ndiayega pour remplir des bidons et des seaux. « Je dois payer 2000 francs par course », déclare-t-il.
Au quartier HLM, le collège d’enseignement moyen dit CEM Bakel-Commune, avec ses plus de 800 élèves, est de loin le plus durement touché par cette pénurie d’eau.
Selon la principale, Madame Dramé, les difficultés d’approvisionnement en eau du collège remonte à 2018.
« C’est le plus grand collège du département de Bakel et on n’a pas d’eau (…). Les élèves sont obligés d’aller dans les maisons qui sont aux alentours pour trouver de quoi effacer nos tableaux », regrette-t-elle.
Elle ajoute que les toilettes du collège ne sont plus fonctionnelles et invite les autorités à leur venir en aide pour trouver une solution à cette situation.
« (…) Pendant les mois de mars et d’avril, c’est la canicule à Bakel, donc mieux vaut essayer de régler cette situation », exhorte-telle.
Interrogé sur les raisons de ce problème de distribution d’eau, le responsable de SEN’EAU à Bakel n’a pas voulu répondre aux sollicitations du correspondant de l’APS.
« Depuis une semaine, c’est comme ça. L’eau ne coule plus des robinets qu’entre 02 heures et 06 h du matin. On veille avec nos enfants qui doivent aussi aller à l’école », déplore Fayèle Sy, une habitante du quartier Montage-Centrale.
Situé en altitude, ce quartier souffre depuis longtemps d’un problème de manque d’eau.
« Parfois, il faut attendre que Grimpalé [quartier voisin] s’approvisionne, pour que la pression puisse monter jusqu’à chez nous », explique Cissokho, un père de famille.
« Ils ont créé un forage depuis plusieurs années pour nous soulager, mais il ne fonctionne toujours pas. La journée on est obligé d’acheter de l’eau dans les autres quartiers », confie-t-il.
Il regrette la cherté des factures d’eau malgré une faible consommation du liquide précieux en cette période.
Mamadou Cissokho, un habitant de Montagne-Centrale, dit avoir remarqué la situation depuis près d’un an dans ce quartier. Il dit être obligé d’aller jusqu’au quartier Ndiayega pour remplir des bidons et des seaux. « Je dois payer 2000 francs par course », déclare-t-il.
Au quartier HLM, le collège d’enseignement moyen dit CEM Bakel-Commune, avec ses plus de 800 élèves, est de loin le plus durement touché par cette pénurie d’eau.
Selon la principale, Madame Dramé, les difficultés d’approvisionnement en eau du collège remonte à 2018.
« C’est le plus grand collège du département de Bakel et on n’a pas d’eau (…). Les élèves sont obligés d’aller dans les maisons qui sont aux alentours pour trouver de quoi effacer nos tableaux », regrette-t-elle.
Elle ajoute que les toilettes du collège ne sont plus fonctionnelles et invite les autorités à leur venir en aide pour trouver une solution à cette situation.
« (…) Pendant les mois de mars et d’avril, c’est la canicule à Bakel, donc mieux vaut essayer de régler cette situation », exhorte-telle.
Interrogé sur les raisons de ce problème de distribution d’eau, le responsable de SEN’EAU à Bakel n’a pas voulu répondre aux sollicitations du correspondant de l’APS.