En politique, les silences sont souvent aussi importants que les discours. On vient de sortir de deux élections (locales et législatives), nous devions faire le bilan afin de mieux nous projeter dans l’avenir par rapport aux échéances qui sont devant nous, notamment la prochaine élection présidentielle.
Comme vous parlez de bilan, qu’en est-il, aujourd’hui, de l’APR et de Benno Bokk Yaakaar à Kaolack ?
Vous me donnez ici l’occasion de rendre un vibrant hommage à Diène Farba Sarr qui a implanté l’APR à Kaolack. Il s’est battu pour le parti et son rayonnement dans le Saloum. Cela dit, je salue les actes posés par certains leaders comme Mohamed Ndiaye Rahma qui fait actuellement tout son possible pour rassembler tout le monde autour du Président Macky Sall, dans l’intérêt général de l’APR et de Benno Bokk Yaakaar.
Mais également, je constate la montée en puissance de jeunes leaders qui sont très représentatifs sur le terrain. Je peux citer celle qui incarne de plus en plus le leadership dans le département de Kaolack. Il s’agit d’Aïssatou Ndiaye qui est une femme, maire (de Ndiaffate) et députée à l’Assemblée nationale où elle est d’ailleurs Secrétaire élue. Je crois que le Président Macky Sall doit beaucoup compter sur de jeunes leaders comme elle qui constituent l’avenir de l’APR surtout à Kaolack. Je peux également citer le président du Conseil départemental, Ahmed Youssouf Bengeloune, Ousmane Noël Dieng, réputé pour ses actions sociales et tant d’autres qui font un travail extraordinaire à la base pour soutenir le président de la République dans son combat pour l’émergence.
C’est le cas, par ailleurs, du maire de Kolda, et tout nouveau Directeur général de la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC), Mame Boye Diao, que je félicite au passage, du DG de Dakar Dem Dikk, Ousmane Sylla, non moins maire de la ville de Kédougou, de Galo Bâ, ministre de la Fonction publique et de la Transformation du Secteur public. Il y a également Abdou Karim Fofana, ministre du Commerce, de la Consommation et des PME, également porte-parole du gouvernement, de Doudou Ka, des transports aériens et du Développement des Infrastructures aéroportuaires, du maire de Kaffrine, Abdoulaye Seydou Sow, ministre de l’Urbanisme, du Logement et de l’Hygiène publique, etc. Ils sont nombreux. Ces jeunes leaders qui font un travail appréciable dans l’appareil d’État mais aussi mènent toujours des actions pour rassembler les jeunes et les femmes au-delà même des instances du parti et de la coalition présidentielle. Ils sont prêts à accompagner le Président Macky Sall jusqu’au bout.
Quand vous dîtes « jusqu’au bout », cela signifie-t-il que vous pensez que le Président Macky Sall va briguer un 3e mandat ?
Personne n’est encore candidat ! Jusqu’ici, il n’y a que des déclarations d’intention. Pour être candidat, il faut obligatoirement que le Conseil constitutionnel valide votre dossier. Donc, on ne peut obliger, tout de suite et maintenant, le Président Macky Sall à dire s’il est candidat ou pas. Ce n’est pas le moment. L’heure est au travail, pas à la politique politicienne. Le chef de l’État est préoccupé par le coût de la vie pour soulager les Sénégalais qui subissent les affres du contexte économique mondial avec le COVID qui a affecté le monde entier et, aujourd’hui, la guerre entre la Russie et l’Ukraine. Malgré tout, vous constatez avec moi que le Président Macky Sall a pris des mesures importantes concernant la baisse de certains produits de consommation courante, le loyer, etc. Sans compter toutes les infrastructures (les routes, les ponts, les hôpitaux…) qu’il est en train d’inaugurer à l’intérieur du pays.
Toujours à propos de la présidentielle de 2024, pensez-vous sérieusement que le Président Macky Sall a le droit de se présenter ?
Vous voulez dire si l’article 27 de la Constitution lui donne le droit de se présenter ? Il faut d’abord savoir que cet article est composé de deux alinéas. Le premier parle de la durée qui est de 5 ans et le second, du nombre en précisant que « Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs ». Les adversaires du Président Macky Sall s’agrippent sur ce second alinéa, en occultant sciemment le premier, pour dire qu’il n’a pas le droit de se présenter. En tant que juriste, je respecte les institutions du pays, notamment le Conseil Constitutionnel qui est en charge de ces questions. Le moment venu, le droit sera dit.
Seulement, j’ai l’impression que l’opposition a peur de la candidature du Président Macky Sall. Je les comprends parce que son bilan est imparable. Et puis, en démocratie, aucun citoyen ne peut empêcher la candidature d’un autre citoyen. Pour barrer la route à un candidat, il faut le battre dans les urnes. C’est comme ça qu’on doit combattre un 3ème mandat, démocratiquement. Mais je crois que l’opposition est consciente qu’elle ne peut pas battre le Président Macky Sall dans les urnes. C’est pourquoi toute cette agitation pour l’empêcher de se présenter.
Mais c’est le Président Macky Sall lui-même qui avait dit qu’il avait verrouillé le mandat à deux.
Effectivement, il l’a fait. Depuis 2019, à la faveur de la révision constitutionnelle adoptée par Référendum en 2016, « Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs ». De 5 ans ! La précision est importante comme indiqué dans l’alinéa premier de l’article 27. Pour le reste, comme je l’ai déjà dit, c’est le Conseil Constitutionnel qui est habilité à trancher la question. Certains juristes disent même qu’il l’a déjà fait dans la décision qu’il avait rendu sur la question.
Donc, selon vous, le Président Macky Sall a la droit de se présenter pour un 3e mandat.
Un 2e mandat de 5 ans ? Oui. Rien ne l’empêche. Maintenant, entre pouvoir et vouloir, il y a loin entre la coupe et les lèvres. Juridiquement, il en a le plein droit. Politiquement, c’est à lui d’en décider. Et pour cette seconde option, je crois que les Sénégalais vont l’obliger à se présenter eu égard à ses nombreuses réalisations dans le pays.
Pourtant le Président Macky Sall avait farouchement combattu le 3ème mandat sous Abdoulaye Wade.
Je précise que le Président Macky Sall avait combattu la 3ème candidature d’Abdoulaye Wade dans la rue avec les autres membres de l’opposition. Mais le 3ème mandat, il l’a combattu par les urnes. En effet, quand le Conseil constitutionnel a décidé que le Président Abdoulaye Wade avait le droit de se présenter, il est allé battre campagne. Et finalement, il a gagné. C’est ça être légaliste. Le Président Macky Sall est un légaliste, contrairement à cette opposition et ces membres de la société civile qui veulent se substituer au Conseil constitutionnel pour valider ou invalider une candidature. À ce rythme, on risque d’aller vers un État de non-droit ou la raison du plus bavard, du plus agité, fera loi. On serait dans une « République des agitateurs ». C’est un pas dangereux qu’il ne faut pas franchir. Déjà que même les juristes, qui sont des sachants du Droit, ne sont pas d’accord sur l’interprétation de l’article 27 de la Constitution. Alors, que chacun garde sa position en respectant celle des autres. Nous n’accepterons pas un terrorisme intellectuel. Nous ferons face à ces fossoyeurs de nos institutions.
Le Président Macky Sall devra alors faire face à l’opposition et à la société civile qui se mobilise pour l’empêcher de se présenter en 2024.
Encore une fois, ce n’est pas à la société civile, ou à un groupe de lobbyeurs, d’interdire à quelqu’un de se présenter, s’il le souhaite. Je vous ai dit tout à l’heure que c’est au Conseil constitutionnel de valider ou d’invalider une candidature. Et personne d’autre !
A vous entendre, vous êtes aujourd’hui plus que jamais engagée auprès du Président Macky Sall bien que n’étant pas dans le gouvernement.
Plus que jamais ! Notre conception de la politique ne se limite pas à des strapontins. Ce qui nous préoccupe, c’est le mieux-être des Sénégalais. Et nous accompagnons le chef de l’État dans cette mission sacerdotale.
Votre ancien mentor Idrissa Seck a proposé la candidature plurielle au sein de Benno Bokk Yaakaar pour la prochaine présidentielle. Qu’en pensez-vous ?
J’ai pris la décision de ne plus parler d’Idrissa Seck ou de ses positions politiques. Nous avons de très bonnes relations de frère et soeur mais moi je suis avec le Président Macky Sall. Et je le soutiendrai jusqu’au bout. Comprenez donc que je ne puisse me prononcer sur les positions d’un autre leader de parti. Qui plus est un allié du président de la République. Encore une fois, ce n’est pas à la société civile, ou à un groupe de lobbyeurs, d’interdire à quelqu’un de se présenter, s’il le souhaite. Je vous ai dit tout à l’heure que c’est au Conseil constitutionnel de valider ou d’invalider une candidature. Et personne d’autre !
A vous entendre, vous êtes aujourd’hui plus que jamais engagée auprès du Président Macky Sall bien que n’étant pas dans le gouvernement.
Plus que jamais ! Vous savez, notre conception de la politique ne se limite pas à des strapontins. Ce qui nous préoccupe, c’est le mieux-être des Sénégalais. Et nous accompagnons le chef de l’État dans cette mission sacerdotale.
Votre ancien mentor Idrissa Seck a proposé la candidature plurielle au sein de Benno Bokk Yaakaar pour la prochaine présidentielle. Qu’en pensez-vous ?
J’ai pris la décision de ne plus parler d’Idrissa Seck ou de ses positions politiques. Nous avons de très bonnes relations de frère et soeur mais moi je suis avec le Président Macky Sall. Et je le soutiendrai jusqu’au bout. Comprenez donc que je ne puisse me prononcer sur les positions d’un autre leader de parti. Qui plus est un allié du président de la République.
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Comme vous parlez de bilan, qu’en est-il, aujourd’hui, de l’APR et de Benno Bokk Yaakaar à Kaolack ?
Vous me donnez ici l’occasion de rendre un vibrant hommage à Diène Farba Sarr qui a implanté l’APR à Kaolack. Il s’est battu pour le parti et son rayonnement dans le Saloum. Cela dit, je salue les actes posés par certains leaders comme Mohamed Ndiaye Rahma qui fait actuellement tout son possible pour rassembler tout le monde autour du Président Macky Sall, dans l’intérêt général de l’APR et de Benno Bokk Yaakaar.
Mais également, je constate la montée en puissance de jeunes leaders qui sont très représentatifs sur le terrain. Je peux citer celle qui incarne de plus en plus le leadership dans le département de Kaolack. Il s’agit d’Aïssatou Ndiaye qui est une femme, maire (de Ndiaffate) et députée à l’Assemblée nationale où elle est d’ailleurs Secrétaire élue. Je crois que le Président Macky Sall doit beaucoup compter sur de jeunes leaders comme elle qui constituent l’avenir de l’APR surtout à Kaolack. Je peux également citer le président du Conseil départemental, Ahmed Youssouf Bengeloune, Ousmane Noël Dieng, réputé pour ses actions sociales et tant d’autres qui font un travail extraordinaire à la base pour soutenir le président de la République dans son combat pour l’émergence.
C’est le cas, par ailleurs, du maire de Kolda, et tout nouveau Directeur général de la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC), Mame Boye Diao, que je félicite au passage, du DG de Dakar Dem Dikk, Ousmane Sylla, non moins maire de la ville de Kédougou, de Galo Bâ, ministre de la Fonction publique et de la Transformation du Secteur public. Il y a également Abdou Karim Fofana, ministre du Commerce, de la Consommation et des PME, également porte-parole du gouvernement, de Doudou Ka, des transports aériens et du Développement des Infrastructures aéroportuaires, du maire de Kaffrine, Abdoulaye Seydou Sow, ministre de l’Urbanisme, du Logement et de l’Hygiène publique, etc. Ils sont nombreux. Ces jeunes leaders qui font un travail appréciable dans l’appareil d’État mais aussi mènent toujours des actions pour rassembler les jeunes et les femmes au-delà même des instances du parti et de la coalition présidentielle. Ils sont prêts à accompagner le Président Macky Sall jusqu’au bout.
Quand vous dîtes « jusqu’au bout », cela signifie-t-il que vous pensez que le Président Macky Sall va briguer un 3e mandat ?
Personne n’est encore candidat ! Jusqu’ici, il n’y a que des déclarations d’intention. Pour être candidat, il faut obligatoirement que le Conseil constitutionnel valide votre dossier. Donc, on ne peut obliger, tout de suite et maintenant, le Président Macky Sall à dire s’il est candidat ou pas. Ce n’est pas le moment. L’heure est au travail, pas à la politique politicienne. Le chef de l’État est préoccupé par le coût de la vie pour soulager les Sénégalais qui subissent les affres du contexte économique mondial avec le COVID qui a affecté le monde entier et, aujourd’hui, la guerre entre la Russie et l’Ukraine. Malgré tout, vous constatez avec moi que le Président Macky Sall a pris des mesures importantes concernant la baisse de certains produits de consommation courante, le loyer, etc. Sans compter toutes les infrastructures (les routes, les ponts, les hôpitaux…) qu’il est en train d’inaugurer à l’intérieur du pays.
Toujours à propos de la présidentielle de 2024, pensez-vous sérieusement que le Président Macky Sall a le droit de se présenter ?
Vous voulez dire si l’article 27 de la Constitution lui donne le droit de se présenter ? Il faut d’abord savoir que cet article est composé de deux alinéas. Le premier parle de la durée qui est de 5 ans et le second, du nombre en précisant que « Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs ». Les adversaires du Président Macky Sall s’agrippent sur ce second alinéa, en occultant sciemment le premier, pour dire qu’il n’a pas le droit de se présenter. En tant que juriste, je respecte les institutions du pays, notamment le Conseil Constitutionnel qui est en charge de ces questions. Le moment venu, le droit sera dit.
Seulement, j’ai l’impression que l’opposition a peur de la candidature du Président Macky Sall. Je les comprends parce que son bilan est imparable. Et puis, en démocratie, aucun citoyen ne peut empêcher la candidature d’un autre citoyen. Pour barrer la route à un candidat, il faut le battre dans les urnes. C’est comme ça qu’on doit combattre un 3ème mandat, démocratiquement. Mais je crois que l’opposition est consciente qu’elle ne peut pas battre le Président Macky Sall dans les urnes. C’est pourquoi toute cette agitation pour l’empêcher de se présenter.
Mais c’est le Président Macky Sall lui-même qui avait dit qu’il avait verrouillé le mandat à deux.
Effectivement, il l’a fait. Depuis 2019, à la faveur de la révision constitutionnelle adoptée par Référendum en 2016, « Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs ». De 5 ans ! La précision est importante comme indiqué dans l’alinéa premier de l’article 27. Pour le reste, comme je l’ai déjà dit, c’est le Conseil Constitutionnel qui est habilité à trancher la question. Certains juristes disent même qu’il l’a déjà fait dans la décision qu’il avait rendu sur la question.
Donc, selon vous, le Président Macky Sall a la droit de se présenter pour un 3e mandat.
Un 2e mandat de 5 ans ? Oui. Rien ne l’empêche. Maintenant, entre pouvoir et vouloir, il y a loin entre la coupe et les lèvres. Juridiquement, il en a le plein droit. Politiquement, c’est à lui d’en décider. Et pour cette seconde option, je crois que les Sénégalais vont l’obliger à se présenter eu égard à ses nombreuses réalisations dans le pays.
Pourtant le Président Macky Sall avait farouchement combattu le 3ème mandat sous Abdoulaye Wade.
Je précise que le Président Macky Sall avait combattu la 3ème candidature d’Abdoulaye Wade dans la rue avec les autres membres de l’opposition. Mais le 3ème mandat, il l’a combattu par les urnes. En effet, quand le Conseil constitutionnel a décidé que le Président Abdoulaye Wade avait le droit de se présenter, il est allé battre campagne. Et finalement, il a gagné. C’est ça être légaliste. Le Président Macky Sall est un légaliste, contrairement à cette opposition et ces membres de la société civile qui veulent se substituer au Conseil constitutionnel pour valider ou invalider une candidature. À ce rythme, on risque d’aller vers un État de non-droit ou la raison du plus bavard, du plus agité, fera loi. On serait dans une « République des agitateurs ». C’est un pas dangereux qu’il ne faut pas franchir. Déjà que même les juristes, qui sont des sachants du Droit, ne sont pas d’accord sur l’interprétation de l’article 27 de la Constitution. Alors, que chacun garde sa position en respectant celle des autres. Nous n’accepterons pas un terrorisme intellectuel. Nous ferons face à ces fossoyeurs de nos institutions.
Le Président Macky Sall devra alors faire face à l’opposition et à la société civile qui se mobilise pour l’empêcher de se présenter en 2024.
Encore une fois, ce n’est pas à la société civile, ou à un groupe de lobbyeurs, d’interdire à quelqu’un de se présenter, s’il le souhaite. Je vous ai dit tout à l’heure que c’est au Conseil constitutionnel de valider ou d’invalider une candidature. Et personne d’autre !
A vous entendre, vous êtes aujourd’hui plus que jamais engagée auprès du Président Macky Sall bien que n’étant pas dans le gouvernement.
Plus que jamais ! Notre conception de la politique ne se limite pas à des strapontins. Ce qui nous préoccupe, c’est le mieux-être des Sénégalais. Et nous accompagnons le chef de l’État dans cette mission sacerdotale.
Votre ancien mentor Idrissa Seck a proposé la candidature plurielle au sein de Benno Bokk Yaakaar pour la prochaine présidentielle. Qu’en pensez-vous ?
J’ai pris la décision de ne plus parler d’Idrissa Seck ou de ses positions politiques. Nous avons de très bonnes relations de frère et soeur mais moi je suis avec le Président Macky Sall. Et je le soutiendrai jusqu’au bout. Comprenez donc que je ne puisse me prononcer sur les positions d’un autre leader de parti. Qui plus est un allié du président de la République. Encore une fois, ce n’est pas à la société civile, ou à un groupe de lobbyeurs, d’interdire à quelqu’un de se présenter, s’il le souhaite. Je vous ai dit tout à l’heure que c’est au Conseil constitutionnel de valider ou d’invalider une candidature. Et personne d’autre !
A vous entendre, vous êtes aujourd’hui plus que jamais engagée auprès du Président Macky Sall bien que n’étant pas dans le gouvernement.
Plus que jamais ! Vous savez, notre conception de la politique ne se limite pas à des strapontins. Ce qui nous préoccupe, c’est le mieux-être des Sénégalais. Et nous accompagnons le chef de l’État dans cette mission sacerdotale.
Votre ancien mentor Idrissa Seck a proposé la candidature plurielle au sein de Benno Bokk Yaakaar pour la prochaine présidentielle. Qu’en pensez-vous ?
J’ai pris la décision de ne plus parler d’Idrissa Seck ou de ses positions politiques. Nous avons de très bonnes relations de frère et soeur mais moi je suis avec le Président Macky Sall. Et je le soutiendrai jusqu’au bout. Comprenez donc que je ne puisse me prononcer sur les positions d’un autre leader de parti. Qui plus est un allié du président de la République.
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