M. Sané, 27 ans, a été jugée à la barre du tribunal d'instance de Mbour pour escroquerie. Elle est poursuivie pour vol, par la veuve de son amant, J. P. E. Froit, relate "Seneweb".
En effet, elle continuait à retirer des sommes d'argent du compte de son amant décédé le 31 août dernier. Dès le 1er septembre, elle a commencé à retirer des sommes. Elle a procédé à un retrait de 300 000, puis 200 000 au deuxième jour de deuil et, enfin, 130 000 au troisième jour, soit au total, 630 000 FCfa.
Le défunt lui avait remis sa carte bancaire. Mais après sa mort, elle continuait à puiser dans les comptes de son défunt amant.
Informés des retraits, la veuve et le fils de J. Froit, l’ont traînée en justice. "C'était mon fiancé. On habitait ensemble et d'habitude, c'est à moi qu'il confiait sa carte bancaire. J'ai fait des dépenses, j'ai payé des prières pour le repos de son âme. La propriétaire de la maison m'a intimé l'ordre de sortir les affaires de Jean-Philippe. J'ai emporté ses habits à faire laver".
Son acte étant répréhensible, le procureur a requis l'application de la loi. Son avocat, Me Sakho, estime que sa cliente "n'avait pas volé la carte bancaire. C'était une personne de confiance et elle disposait des codes des cartes bancaires. Elle était en deuil et elle était dans le besoin pour prendre en charge un certain nombre de dépenses. Elle était dans l'urgence d'aller retirer de l'argent". L'avocat a demandé une application bienveillante de loi.
M. Sané a été reconnue coupable et condamnée à trois mois de prison avec sursis.
En effet, elle continuait à retirer des sommes d'argent du compte de son amant décédé le 31 août dernier. Dès le 1er septembre, elle a commencé à retirer des sommes. Elle a procédé à un retrait de 300 000, puis 200 000 au deuxième jour de deuil et, enfin, 130 000 au troisième jour, soit au total, 630 000 FCfa.
Le défunt lui avait remis sa carte bancaire. Mais après sa mort, elle continuait à puiser dans les comptes de son défunt amant.
Informés des retraits, la veuve et le fils de J. Froit, l’ont traînée en justice. "C'était mon fiancé. On habitait ensemble et d'habitude, c'est à moi qu'il confiait sa carte bancaire. J'ai fait des dépenses, j'ai payé des prières pour le repos de son âme. La propriétaire de la maison m'a intimé l'ordre de sortir les affaires de Jean-Philippe. J'ai emporté ses habits à faire laver".
Son acte étant répréhensible, le procureur a requis l'application de la loi. Son avocat, Me Sakho, estime que sa cliente "n'avait pas volé la carte bancaire. C'était une personne de confiance et elle disposait des codes des cartes bancaires. Elle était en deuil et elle était dans le besoin pour prendre en charge un certain nombre de dépenses. Elle était dans l'urgence d'aller retirer de l'argent". L'avocat a demandé une application bienveillante de loi.
M. Sané a été reconnue coupable et condamnée à trois mois de prison avec sursis.