Les autorités gouvernementales ont pris la décision de couper les réseaux sociaux pendant les 05 jours que durent les examens du secondaire. Cette mesure se justifie, selon le ministre de l’Education, comme étant le moyen d’éviter la circulation des énoncés des examens sur internet.
Cependant cette mesure des autorités du ministère est mal accueillie par les jeunes, mais aussi par Amnesty international.
Selon le directeur d’Amnesty en Afrique de l’Est, le ministère de l’Éducation « ferait mieux de travailler à la sécurisation des copies plutôt que de prendre des décisions régressives, entravant l’accès à l’information et la liberté d’expression », exhorte-t-il.
Mais pour se dédouaner, le gouvernement a affirmé que les examens avaient fuité sur internet et qu’un cartel avait infiltré le ministère de l’Éducation, rapporte rfi.
Cependant cette mesure des autorités du ministère est mal accueillie par les jeunes, mais aussi par Amnesty international.
Selon le directeur d’Amnesty en Afrique de l’Est, le ministère de l’Éducation « ferait mieux de travailler à la sécurisation des copies plutôt que de prendre des décisions régressives, entravant l’accès à l’information et la liberté d’expression », exhorte-t-il.
Mais pour se dédouaner, le gouvernement a affirmé que les examens avaient fuité sur internet et qu’un cartel avait infiltré le ministère de l’Éducation, rapporte rfi.