Juriste de formation, Sokhna Bator Thiam se consacre exclusivement à la gestion de sa demeure aux côtés du guide des “Thiantacounes”. Un choix qu’elle assume.
“Quand je suis devenue la femme de Cheikh Béthio, j’avais fini mes études de Droit. J’avais ma maîtrise. Etre l’épouse de Cheikh Béthio Thioune est un évènement qui m’a rattrapée dans ma vie. C’était une surprise. Je n’ai jamais imaginé pareille situation et ça ne m’avait jamais effleuré l’esprit. Dieu en a décidé ainsi. Mais ça ne m’a pas déplu”, confie-t-elle à l’Observateur.
Cheikh Béthio Thioune, dit-elle, l’a beaucoup aidée. “Avec lui, je sais que travailler pour Serigne Touba n’est pas croiser les bras et attendre les «berndés». Grâce à lui, j’ai su aimer Serigne Saliou et j’ai appris à connaître Serigne Touba”.
C’est pourquoi, ajoute-t-elle, “il est unique pour moi. Quand je suis devenue sa femme, il m’a cherché du travail”. Mais “c’est moi qui ai décidé de ne pas prendre ce poste. Je préfère mille fois lui nettoyer ses chaussures que de travailler dans un bureau”, jure-t-elle.
“Quand je suis devenue la femme de Cheikh Béthio, j’avais fini mes études de Droit. J’avais ma maîtrise. Etre l’épouse de Cheikh Béthio Thioune est un évènement qui m’a rattrapée dans ma vie. C’était une surprise. Je n’ai jamais imaginé pareille situation et ça ne m’avait jamais effleuré l’esprit. Dieu en a décidé ainsi. Mais ça ne m’a pas déplu”, confie-t-elle à l’Observateur.
Cheikh Béthio Thioune, dit-elle, l’a beaucoup aidée. “Avec lui, je sais que travailler pour Serigne Touba n’est pas croiser les bras et attendre les «berndés». Grâce à lui, j’ai su aimer Serigne Saliou et j’ai appris à connaître Serigne Touba”.
C’est pourquoi, ajoute-t-elle, “il est unique pour moi. Quand je suis devenue sa femme, il m’a cherché du travail”. Mais “c’est moi qui ai décidé de ne pas prendre ce poste. Je préfère mille fois lui nettoyer ses chaussures que de travailler dans un bureau”, jure-t-elle.