Le Ramadan est devenu une période de traite et de forte productivité pour nos artistes comédiens. Un marché où fleurissent toutes sortes de sketchs, les une plus insipides que les autres, d'après La Tribune, et qui envahissent le petit écran. Des thèmes qui n’ont rien à voir avec le Ramadan nous sont servis avant et après la rupture du jeûne. On peut citer Ndogu li, le Ramadan de As, Lama ak korgui, Mandoumbé ak korgui, Kooru Mère Dial, Kooru Yoro, Keur Guèye, Kooru Soleil Levant, le Ramadan de Serigne Ngagne, Kor Dior et Keur gui la maison… la liste est loin d’être exhaustive. Certains de ces sketchs se moquent de l’islam selon Makhtar : « On remarque à travers ces sketchs que la prière est banalisée et les versets coraniques sont galvaudés. La parole divine est sacrée. Ces comédiens ne respectent pas les préceptes de l’Islam », s’offusque-t-il. L’effet escompté avec ces diffusions est contraire aux attentes que les téléspectateurs en espèrent : « Le problème est que les diffuseurs ignorent la règle d’or qui les unit aux téléspectateurs, à savoir le respect », nous dit Seynabou. Pour elle, les télés privées n’ont pas la capacité de remplir convenablement leur grille des programmes. Ce qui les amène à proposer du fourre tout plus ou moins impropre. Elle dénonce les sketchs à outrance qu’elles servent aux téléspectateurs et les assimilent à un excès. A l'en croire, les séries deviennent insipides voire dégoûtantes, car, il y a beaucoup d’exagération. L’aspect religieux dont les comédiens se moquent par mégarde, l’a fait sortir de ses gonds : « On ne joue pas avec la religion ».
Le mois de Ramadan étant sacré, les comédiens devraient, selon nos confrères, revoir leur copie à défaut de pouvoir rester humbles, car c’est un mois où la comédie ne s’invite pas au banquet. Abondant dans le même sens, Moussa qui est très à cheval sur certains principes pense qu’il faut qu’on respecte d’abord notre religion pour que les autres nous respectent en conséquence. Il est en phase avec Oustaz Alioune Sall qui parle de fragilisation de l’Islam. Selon lui, ces comédiens dont il s’offusque des piètres et insipides prestations, sont pires que les « Charlie ». Avec leurs sketchs bidons à la gomme, ils sont en train de caricaturer notre religion qu’est l’Islam, cela est inadmissible dans un pays qui se vante d’être à 95% musulman. Une situation déplorable qui l’incite à tirer le chapeau aux chrétiens qu’on ne voit jamais s’activer dans ces genres de pitrerie même s’ils ont leurs artistes. Ces derniers, par respect à leur croyance, ne feront jamais chose pareille.
Le mois de Ramadan étant sacré, les comédiens devraient, selon nos confrères, revoir leur copie à défaut de pouvoir rester humbles, car c’est un mois où la comédie ne s’invite pas au banquet. Abondant dans le même sens, Moussa qui est très à cheval sur certains principes pense qu’il faut qu’on respecte d’abord notre religion pour que les autres nous respectent en conséquence. Il est en phase avec Oustaz Alioune Sall qui parle de fragilisation de l’Islam. Selon lui, ces comédiens dont il s’offusque des piètres et insipides prestations, sont pires que les « Charlie ». Avec leurs sketchs bidons à la gomme, ils sont en train de caricaturer notre religion qu’est l’Islam, cela est inadmissible dans un pays qui se vante d’être à 95% musulman. Une situation déplorable qui l’incite à tirer le chapeau aux chrétiens qu’on ne voit jamais s’activer dans ces genres de pitrerie même s’ils ont leurs artistes. Ces derniers, par respect à leur croyance, ne feront jamais chose pareille.