Cette situation s’explique, selon lui, par la dette de plus de 4 milliards FCfa que l’Etat du Sénégal doit aux repreneurs des restaurants, qui rencontrent d’innombrables difficultés pour servir de bons mets. M. Diallo a interpelé le ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, son collègue des Finances et du Budget, ainsi que le président de la République.
Les repreneurs ne peuvent plus assurer un bon service, faute d’argent. A l’en croire, la dette de l’Etat plombe la qualité du service des restaurants et met en péril la santé des étudiants, qui préfèrent parfois aller dans les boutiques pour manger. Et pour éviter le chamboulement du calendrier de l’année prochaine, Souleymane Diallo et ses camarades avertissent les autorités.
Ils plaident pour que des mesures soient prises, afin de régler ce problème définitivement. Il rappelle qu'en octobre 2021, l’Université Gaston Berger avait repoussé la date d’ouverture, à cause d’une dette d’un milliard due aux repreneurs.
En tout cas, les étudiants ne sont pas prêts à accepter, dit-il, que la date de la rentrée académique soit encore repoussée à cause d’une dette.
Les repreneurs ne peuvent plus assurer un bon service, faute d’argent. A l’en croire, la dette de l’Etat plombe la qualité du service des restaurants et met en péril la santé des étudiants, qui préfèrent parfois aller dans les boutiques pour manger. Et pour éviter le chamboulement du calendrier de l’année prochaine, Souleymane Diallo et ses camarades avertissent les autorités.
Ils plaident pour que des mesures soient prises, afin de régler ce problème définitivement. Il rappelle qu'en octobre 2021, l’Université Gaston Berger avait repoussé la date d’ouverture, à cause d’une dette d’un milliard due aux repreneurs.
En tout cas, les étudiants ne sont pas prêts à accepter, dit-il, que la date de la rentrée académique soit encore repoussée à cause d’une dette.