«A Dieu nous appartenons et à DIEU nous retournerons. Nous étions des bébés journalistes avec Sidy Lamine Niasse. Je comprends les larmes de Assane Guèye, je pense à Mame Less Kamara ou encore Tidiane Kassé. Sidy Lamine Niasse était un « baobab au niveau de la presse, un soldat de l’Islam, un leader d’opinion société sénégalaises africaine, Oummah islamique, soldat défenseur de la cause palestinienne. Il a laissé un grand héritage pour le Sénégal et surtout le journalisme qui est un métier à la croisée des chemins. Je comprends les larmes de Assane Guèye, je pense aussi à Abdourakhmane Kamara et Tidiane Kassé. »
Leral.net
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