Amnesty International Sénégal se dit "fortement préoccupée par les nombreuses arrestations de lutteurs, d'anciens dignitaires ministres, de responsables politiques". Très en colère, d'après La Tribune, Seydi Gassama fulmine : "Il est inacceptable que sur la base de simples soupçons, on veuille les inculper de délits graves pour ensuite les envoyer en prison". Ce d'autant que depuis que le Pds occupe la rue, c'est toujours "de manière pacifique" qu'il a manifesté. M. Gassama estime, selon nos confrères, que le comportement actuel des autorités est inacceptable dans un pays démocratique. A l'en croire, ces arrestations créent un "climat délétère" et poussent ceux qui s'estiment persécutés à passer à l'acte. "Amnesty a plus peur des de ces arrestations tous azimuts que de la date du verdict du procès de Karim Wade le 23 mars", martèle-t-il. Pour Seydi Gassama, l'Etat doit prendre toutes les dispositions pour mettre en sécurité les populations et non les arrêter "sans preuves".
M. Gassama pense, par ailleurs, que le Pds doit garder la sérénité. Car, au-delà de la date du 23, quel que soit le verdict, d'autres recours sont possibles au niveau international, notamment au niveau des Nations Unies. Pour le droit de l'hommiste, le Pds doit garder le calme et la sérénité et continuer à croire en la Justice avant de se projeter sur un recours s'il en trouve la nécessité.
M. Gassama pense, par ailleurs, que le Pds doit garder la sérénité. Car, au-delà de la date du 23, quel que soit le verdict, d'autres recours sont possibles au niveau international, notamment au niveau des Nations Unies. Pour le droit de l'hommiste, le Pds doit garder le calme et la sérénité et continuer à croire en la Justice avant de se projeter sur un recours s'il en trouve la nécessité.