"L’effectif par classe ne pouvant dépasser 30 élèves, n’affecter un maître dans une classe que si la cohorte compte au minimum 20 élèves ; en deçà de cet effectif, fusionner les cohortes pour en faire une classe multigrade", précise-t-on dans le texte.
Dans l’élémentaire, il est demandé de "mettre fin à la pratique qui consiste à scinder une classe en deux cohortes de moins de 30 élèves chacune". "Dans une école de 12 classes et plus, un cours ne peut être éclaté que si l’effectif total à scinder est de 80 au moins ; en deçà de ce nombre, ouvrir une classe à double flux ; dans les zones à forte demande d’Education, l’effectif minimum d’une classe est fixée à 50 élèves", ajoute la même source. S’agissant du moyen-secondaire également, il est question de "mettre fin à la pratique qui consiste à créer, de manière non justifiée, des
classes pédagogiques". "Une classe ne pourra être éclatée en deux que si l’effectif total est au moins de 80 élèves", selon la circulaire.
Le ministère de l’Education déclare consacrer 85,10% de son budget à la prise en charge des salaires et rémunérations. Or, selon le communiqué, "ce taux, particulièrement important, risque de progresser très sensiblement, dans les années à venir, et d’obérer (…) les capacités d’intervention du gouvernement dans l’amélioration de la qualité des enseignements-apprentissages et dans la construction d’infrastructures".
En effet, le ministre déplore "certaines pratiques notées dans le système éducatif et qui vont à l’encontre de l’impérieuse nécessité d’une rationalisation des ressources, conformément aux principes du Programme d’Amélioration de la Qualité, de l’Equité et de la Transparence (PAQUET)". Le département de l’Education estime qu’il faut "mettre fin à ces pratiques au profit d’une minorité mais détriment de l’intérêt général du système éducatif que les règles relatives à l’utilisation du personnel ont été rappelées pour certaines, édictées pour d’autres". Le ministère cite, parmi les pratiques "qui vont à l’encontre d’une gestion rationnelle des ressources humaines", celle consistant à "scinder, au bon vouloir de certains directeurs d’école et chefs d’établissement, une classe en deux cohortes, en violation des dispositions réglementaires qui régissent cette opération".
Dans l’élémentaire, il est demandé de "mettre fin à la pratique qui consiste à scinder une classe en deux cohortes de moins de 30 élèves chacune". "Dans une école de 12 classes et plus, un cours ne peut être éclaté que si l’effectif total à scinder est de 80 au moins ; en deçà de ce nombre, ouvrir une classe à double flux ; dans les zones à forte demande d’Education, l’effectif minimum d’une classe est fixée à 50 élèves", ajoute la même source. S’agissant du moyen-secondaire également, il est question de "mettre fin à la pratique qui consiste à créer, de manière non justifiée, des
classes pédagogiques". "Une classe ne pourra être éclatée en deux que si l’effectif total est au moins de 80 élèves", selon la circulaire.
Le ministère de l’Education déclare consacrer 85,10% de son budget à la prise en charge des salaires et rémunérations. Or, selon le communiqué, "ce taux, particulièrement important, risque de progresser très sensiblement, dans les années à venir, et d’obérer (…) les capacités d’intervention du gouvernement dans l’amélioration de la qualité des enseignements-apprentissages et dans la construction d’infrastructures".
En effet, le ministre déplore "certaines pratiques notées dans le système éducatif et qui vont à l’encontre de l’impérieuse nécessité d’une rationalisation des ressources, conformément aux principes du Programme d’Amélioration de la Qualité, de l’Equité et de la Transparence (PAQUET)". Le département de l’Education estime qu’il faut "mettre fin à ces pratiques au profit d’une minorité mais détriment de l’intérêt général du système éducatif que les règles relatives à l’utilisation du personnel ont été rappelées pour certaines, édictées pour d’autres". Le ministère cite, parmi les pratiques "qui vont à l’encontre d’une gestion rationnelle des ressources humaines", celle consistant à "scinder, au bon vouloir de certains directeurs d’école et chefs d’établissement, une classe en deux cohortes, en violation des dispositions réglementaires qui régissent cette opération".