A cette occasion, Serigne Mbaye Sy Mansour, qui a prié pour le ministre, n’a pas manqué de demander à l’ensemble des populations de payer leurs factures d’électricité. Mais il a aussi exhorté la Senelec à faire preuve d’indulgence envers les populations.
"Il faut payer le courant. Nous, nous payons le courant. Si nous ne le faisons pas, nous allons participer à la faillite de la boîte et c’est tout le pays qui sera sans électricité", a-t-il lancé aux citoyens, avant de se retourner vers le ministre pour lui demander d’être un peu indulgent envers les populations.
Thierno Alassane Sall, réagissant à l’interpellation du religieux, de dire simplement que c’est un message moral que le guide religieux vient de passer à l’ensemble des citoyens de notre pays. "Quand on a des dettes ou que l’on bénéficie des bénéfices de quelqu’un, la logique veut que l’on paye. La Senelec a été indulgente, car on a des facteurs d’ordre de 100 milliards de francs Cfa. Mais le message du religieux est bien reçu", a-t-il dit.
Revenant sur l'objet de sa visite, le ministre de l’Energie déclare : "Vu le sens de l’événement, il est important de venir superviser l’ensemble des travaux qui sont en train d’être menés pour le Gamou. C’est-à -dire prendre les dispositions nécessaires pour satisfaire la demande et mettre Tivaouane hors délestage avant, pendant et après le Gamou".
Thierno Alassane Sall dit avoir noté une avancée aussi bien du côté de la technique que des moyens humains . "Des sources de production, des postes de distribution, les dispositions qui peuvent être prises pour assurer une redondance, c’est-à -dire des voies de secours si éventuellement il y a une défaillances, sont en place. Les permanences sont assurées partout où il sera nécessaire pour éviter les déplacements", a-t-il relevé.
Un autre motif de satisfaction évoqué par le ministre de l’Energie durant la rencontre a été l’extension du réseau qui, d’après lui, est en train de s’opérer dans le cadre de la modernisation de ville de Tivaouane. Une satisfaction qu’il explique par le fait que la Senelec dispose, aujourd’hui, d’une réserve de plus de 100 Mégawatts qu’elle ne peut pas écouler vers les sites qui en ont besoin faute d’un réseau de distribution à la hauteur.
"Il faut payer le courant. Nous, nous payons le courant. Si nous ne le faisons pas, nous allons participer à la faillite de la boîte et c’est tout le pays qui sera sans électricité", a-t-il lancé aux citoyens, avant de se retourner vers le ministre pour lui demander d’être un peu indulgent envers les populations.
Thierno Alassane Sall, réagissant à l’interpellation du religieux, de dire simplement que c’est un message moral que le guide religieux vient de passer à l’ensemble des citoyens de notre pays. "Quand on a des dettes ou que l’on bénéficie des bénéfices de quelqu’un, la logique veut que l’on paye. La Senelec a été indulgente, car on a des facteurs d’ordre de 100 milliards de francs Cfa. Mais le message du religieux est bien reçu", a-t-il dit.
Revenant sur l'objet de sa visite, le ministre de l’Energie déclare : "Vu le sens de l’événement, il est important de venir superviser l’ensemble des travaux qui sont en train d’être menés pour le Gamou. C’est-à -dire prendre les dispositions nécessaires pour satisfaire la demande et mettre Tivaouane hors délestage avant, pendant et après le Gamou".
Thierno Alassane Sall dit avoir noté une avancée aussi bien du côté de la technique que des moyens humains . "Des sources de production, des postes de distribution, les dispositions qui peuvent être prises pour assurer une redondance, c’est-à -dire des voies de secours si éventuellement il y a une défaillances, sont en place. Les permanences sont assurées partout où il sera nécessaire pour éviter les déplacements", a-t-il relevé.
Un autre motif de satisfaction évoqué par le ministre de l’Energie durant la rencontre a été l’extension du réseau qui, d’après lui, est en train de s’opérer dans le cadre de la modernisation de ville de Tivaouane. Une satisfaction qu’il explique par le fait que la Senelec dispose, aujourd’hui, d’une réserve de plus de 100 Mégawatts qu’elle ne peut pas écouler vers les sites qui en ont besoin faute d’un réseau de distribution à la hauteur.