« Les accidents de la circulation routière impliquant des personnels des Forces de Défense et de Sécurité (FDS), ont pris une proportion inquiétante ces dernières années. Un grand nombre de ces accidents concerne des véhicules particuliers, frauduleusement acquis par les personnels militaires et paramilitaires et ne disposant ni de papiers valables pour leur mise en circulation ni de pièces réglementaires afférentes à la conduite automobile.
A la date du 02 août 2022, un gendarme de la légion de Gendarmerie de Kaolack, au volant d’un véhicule importé de la Gambie sans « passavant », ni carte grise et plaque d’immatriculation, a mortellement fauché un père de famille et détruit une partie de la concession où ce dernier se trouvait. Loin d’être un fait isolé, cet incident est surtout une circonstance aggravante pour son auteur, au regard de son statut et de sa qualité d’agent de la force publique chargé de faire respecter le code de la route.
De tels faits graves doivent aussi être imputés à une légèreté souvent observée dans les rangs et sur laquelle le commandement a longtemps observé un certain mutisme. Pour rappel, le statut particulier de militaire impose à celui-ci un comportement irréprochable, une conduite exemplaire, même en dehors du service et de surcroît, dans la vie en communauté.C’est pourquoi, conformément à ses attributions générales en matière de sécurité publique et de sécurité routière, le Haut commandement prendra des mesures énergiques pour réprimer, sans complaisance et sans exception aucune, tous les contrevenants à la réglementation relative à l’acquisition et la mise en circulation des véhicules automobiles. Ces mesures seront élargies aux motocyclettes, en particulier pour ce qui concerne le port obligatoire du casque », a fait savoir le général Moussa Fall.
A la date du 02 août 2022, un gendarme de la légion de Gendarmerie de Kaolack, au volant d’un véhicule importé de la Gambie sans « passavant », ni carte grise et plaque d’immatriculation, a mortellement fauché un père de famille et détruit une partie de la concession où ce dernier se trouvait. Loin d’être un fait isolé, cet incident est surtout une circonstance aggravante pour son auteur, au regard de son statut et de sa qualité d’agent de la force publique chargé de faire respecter le code de la route.
De tels faits graves doivent aussi être imputés à une légèreté souvent observée dans les rangs et sur laquelle le commandement a longtemps observé un certain mutisme. Pour rappel, le statut particulier de militaire impose à celui-ci un comportement irréprochable, une conduite exemplaire, même en dehors du service et de surcroît, dans la vie en communauté.C’est pourquoi, conformément à ses attributions générales en matière de sécurité publique et de sécurité routière, le Haut commandement prendra des mesures énergiques pour réprimer, sans complaisance et sans exception aucune, tous les contrevenants à la réglementation relative à l’acquisition et la mise en circulation des véhicules automobiles. Ces mesures seront élargies aux motocyclettes, en particulier pour ce qui concerne le port obligatoire du casque », a fait savoir le général Moussa Fall.