Né en 1968 et domicilié aux Hlm Grand-Yoff, F. Goudiaby est accusé d’avoir subtilisé 1.100.000 francs Cfa dans le bureau du directeur technique de la société Senevisa. En service dans ladite entreprise depuis 2017, le père de sept enfants a été trahi par les caméras de surveillance installées sur les lieux.
Selon "L'As", dans la matinée du 5 août dernier, Cheikh Tidiane Cherif Sané a constaté qu’il manquait plus de 800.000 francs dans l’enveloppe qu’il avait gardée dans l’armoire de son bureau. Informée, la Direction générale décide de piéger le voleur par l’achat et la mise en place d’une caméra cachée dans les lieux. Quelques jours après, le mis en cause repasse dans le bureau et dérobe cette fois-ci 100.000 francs. Le lendemain, une lecture de la vidéosurveillance a permis de voir l’agent de sécurité fermer le portail central, ouvrir le tiroir de la table du bureau du couloir et récupérer la clé de la direction technique, de laquelle il est ressorti des minutes plus tard. Avec ces éléments en main, l’entreprise saisit la gendarmerie d’une plainte.
Interpellé, F. Goudiaby balaie d’un revers de main les accusations. Il reconnaît tout de même avoir ouvert l’armoire qui contenait l’argent dans la nuit du 6 juillet. Inculpé pour vol de numéraires, le prévenu maintient ses déclarations préliminaires devant la barre du tribunal d’Instance de Dakar, hier mercredi. Suffisant pour que le juge renvoie l’affaire au 1er Octobre prochain, pour la production des images de la vidéosurveillance
Selon "L'As", dans la matinée du 5 août dernier, Cheikh Tidiane Cherif Sané a constaté qu’il manquait plus de 800.000 francs dans l’enveloppe qu’il avait gardée dans l’armoire de son bureau. Informée, la Direction générale décide de piéger le voleur par l’achat et la mise en place d’une caméra cachée dans les lieux. Quelques jours après, le mis en cause repasse dans le bureau et dérobe cette fois-ci 100.000 francs. Le lendemain, une lecture de la vidéosurveillance a permis de voir l’agent de sécurité fermer le portail central, ouvrir le tiroir de la table du bureau du couloir et récupérer la clé de la direction technique, de laquelle il est ressorti des minutes plus tard. Avec ces éléments en main, l’entreprise saisit la gendarmerie d’une plainte.
Interpellé, F. Goudiaby balaie d’un revers de main les accusations. Il reconnaît tout de même avoir ouvert l’armoire qui contenait l’argent dans la nuit du 6 juillet. Inculpé pour vol de numéraires, le prévenu maintient ses déclarations préliminaires devant la barre du tribunal d’Instance de Dakar, hier mercredi. Suffisant pour que le juge renvoie l’affaire au 1er Octobre prochain, pour la production des images de la vidéosurveillance