Le directeur général de l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (Anacim), a profité de cette occasion pour revenir sur l’histoire de la météorologie au Sénégal avec notamment la création, en 1897 à Saint Louis, de la première station pluviométrique.
Sidy Guèye informe, en ce sens, que le Sénégal dispose aujourd’hui de 350 postes pluviométriques et 25 stations synoptiques et climatiques disséminées à travers le pays dont un certain nombre sont centenaires.
Il souligne que le développement de la météo nationale est une réalité avec la densification et la modernisation du réseau d’observations ainsi que les activités de recherche et de développement, pour une amélioration continue des prévisions météorologiques et plus largement des services d’informations météorologiques et climatiques de qualité.
L’Anacim a saisi l’occasion de cette journée pour faire connaitre, à travers une exposition visitée à la fin de la cérémonie officielle, ses différents systèmes, activités et moyens de communication ainsi que les produits et services proposés aux usagers.
Le Sénégal peaufine son réseau d’observation
Pour sa part, le directeur du cabinet du ministre en charge des transports aériens et du développement des infrastructures aéroportuaires a relevé que « le thème de cette année souligne l’importance cruciale du temps, du climat et de l’eau pour les générations futures ».
Pour Malick Sonko, depuis 150 ans, les services météorologiques et hydrologiques nationaux recueillent et normalisent les données sur lesquelles reposent les prévisions météorologiques. En ce sens, il soutient qu’il importe de souligner que des prévisions météorologiques de qualité nécessitent des équipements d’observation modernes, des outils de prévision de pointe, un personnel hautement qualifié et motivé.
C’est ainsi, dit-il, que l’Agence nationale de l’aviation et de la météorologie a entrepris un vaste programme de rénovation et de réhabilitation de son réseau d’observation. A ce titre, « les stations de Mbour, Fatick, Ranérou ont été entièrement reconstruites et équipées » et que « celles de Vélingara, Louga, Kolda, Koungheul… sont en cours de construction et/ou réhabilitation ».
Il rappelle que consciente de la demande croissante en informations météorologiques, l’Anacim a mis les préoccupations des usagers au cœur de sa politique. En 2022, plus de 500 000 messages courts (sms) ont été envoyés aux utilisateurs pour les informer et/ou alerter d’une occurrence de pluie ou de phénomènes météorologiques extrêmes de houle dangereuse, vents forts, pluie dépassant des seuils établis.
Enfin, Malick Sonko fait savoir qu’avec les conséquences des changements climatiques, il est vital d’accroitre notre maitrise du temps, du climat et du cycle de l’eau pour mieux assurer un développement durable.
Sidy Guèye informe, en ce sens, que le Sénégal dispose aujourd’hui de 350 postes pluviométriques et 25 stations synoptiques et climatiques disséminées à travers le pays dont un certain nombre sont centenaires.
Il souligne que le développement de la météo nationale est une réalité avec la densification et la modernisation du réseau d’observations ainsi que les activités de recherche et de développement, pour une amélioration continue des prévisions météorologiques et plus largement des services d’informations météorologiques et climatiques de qualité.
L’Anacim a saisi l’occasion de cette journée pour faire connaitre, à travers une exposition visitée à la fin de la cérémonie officielle, ses différents systèmes, activités et moyens de communication ainsi que les produits et services proposés aux usagers.
Le Sénégal peaufine son réseau d’observation
Pour sa part, le directeur du cabinet du ministre en charge des transports aériens et du développement des infrastructures aéroportuaires a relevé que « le thème de cette année souligne l’importance cruciale du temps, du climat et de l’eau pour les générations futures ».
Pour Malick Sonko, depuis 150 ans, les services météorologiques et hydrologiques nationaux recueillent et normalisent les données sur lesquelles reposent les prévisions météorologiques. En ce sens, il soutient qu’il importe de souligner que des prévisions météorologiques de qualité nécessitent des équipements d’observation modernes, des outils de prévision de pointe, un personnel hautement qualifié et motivé.
C’est ainsi, dit-il, que l’Agence nationale de l’aviation et de la météorologie a entrepris un vaste programme de rénovation et de réhabilitation de son réseau d’observation. A ce titre, « les stations de Mbour, Fatick, Ranérou ont été entièrement reconstruites et équipées » et que « celles de Vélingara, Louga, Kolda, Koungheul… sont en cours de construction et/ou réhabilitation ».
Il rappelle que consciente de la demande croissante en informations météorologiques, l’Anacim a mis les préoccupations des usagers au cœur de sa politique. En 2022, plus de 500 000 messages courts (sms) ont été envoyés aux utilisateurs pour les informer et/ou alerter d’une occurrence de pluie ou de phénomènes météorologiques extrêmes de houle dangereuse, vents forts, pluie dépassant des seuils établis.
Enfin, Malick Sonko fait savoir qu’avec les conséquences des changements climatiques, il est vital d’accroitre notre maitrise du temps, du climat et du cycle de l’eau pour mieux assurer un développement durable.
Source : https://www.lejecos.com/Senegal-L-Anacim-celebre-l...