A travers un communiqué de presse, le gouvernement du Sénégal a réitéré ce lundi, son engagement à poursuivre l’exécution des décisions prises dans le cadre de l’amélioration de la sécurité routière. « Le gouvernement poursuit l’exécution des décisions prises pour garantir la sécurité routière, lors du Conseil interministériel tenu le 9 janvier », a notamment déclaré son porte-parole, Abdou Karim Fofana, renseigne leSoleil.sn.
Il s’agit là d’une réaction du gouvernement au nouvel accident de la circulation, qui a fait dans la soirée de dimanche 20 décès et 24 blessés à Mbengour, un village de la commune de Ngeun Sarr, dans le département de Louga.
L’accident ayant impliqué un camion et un car de transport en commun, a provoqué 20 décès et 24 blessés. Il est survenu une semaine après celui de Sikilo, une localité du centre du Sénégal et qui avait fait 42 morts et une centaine de blessés.
Le gouvernement avait au lendemain pris 22 mesures, dont l’application est censée garantir un renforcement de la sécurité routière. Elles avaient été décidées à l’issue d’un Conseil interministériel organisé à Diamniadio, dans le département de Rufisque.
L’annonce de ces décisions a provoqué une levée de boucliers de certains opérateurs du transport en commun. Des acteurs ont même menacé d’aller en grève général à partir de mardi pour contraindre les autorités à rapporter lesdites mesures.
Les mesures portent, entre autres, sur l’interdiction du transport interurbain de nuit, le retrait de la circulation de certains véhicules, la suspension des importations de pneus d’occasion et l’interdiction de leur vente sur le territoire national et la limitation des chargements.
Il s’agit là d’une réaction du gouvernement au nouvel accident de la circulation, qui a fait dans la soirée de dimanche 20 décès et 24 blessés à Mbengour, un village de la commune de Ngeun Sarr, dans le département de Louga.
L’accident ayant impliqué un camion et un car de transport en commun, a provoqué 20 décès et 24 blessés. Il est survenu une semaine après celui de Sikilo, une localité du centre du Sénégal et qui avait fait 42 morts et une centaine de blessés.
Le gouvernement avait au lendemain pris 22 mesures, dont l’application est censée garantir un renforcement de la sécurité routière. Elles avaient été décidées à l’issue d’un Conseil interministériel organisé à Diamniadio, dans le département de Rufisque.
L’annonce de ces décisions a provoqué une levée de boucliers de certains opérateurs du transport en commun. Des acteurs ont même menacé d’aller en grève général à partir de mardi pour contraindre les autorités à rapporter lesdites mesures.
Les mesures portent, entre autres, sur l’interdiction du transport interurbain de nuit, le retrait de la circulation de certains véhicules, la suspension des importations de pneus d’occasion et l’interdiction de leur vente sur le territoire national et la limitation des chargements.