Le directeur du Développement durable au ministère français de l’Europe et des Affaires étrangères, Christophe Guilhou, a révélé vendredi à Diamniadio (Dakar), que Paris a fourni 700 millions d’euros (soit environ 459 milliards FCfa), en 2022, à plusieurs pays africains, en guise de contribution à leur politique de sécurité alimentaire.
Il s’exprimait en marge du Sommet Dakar 2 sur l’Agriculture et la Souveraineté alimentaire.
« En 2022, une enveloppe de 700 millions d’euros a été injectée en Afrique pour soutenir des actions de sécurité alimentaire, de nutrition et de développement agricole », a-t-il notamment indiqué lors de cette rencontre de haut niveau, qui a réuni une quinzaine de chefs d’Etat.
« Ces financements de la France sont pilotés par l’Agence française de développement. Ils sont aussi destinés aux organismes des Nations-Unies, qui interviennent dans la sécurité alimentaire, comme le PAM (Programme alimentaire mondial) et le FIDA (Fonds international de développement agricole) », a précisé M. Guilhou.
La France a apporté cette contribution pour soutenir la formation agricole rurale, la recherche agronomique et la mécanisation de l’agriculture africaine, selon M. Guilhou, ancien ambassadeur de la France au Cameroun.
« L’objectif de Paris est de contribuer à l’atteinte de la sécurité alimentaire » des pays bénéficiaires de ses financements, a-t-il expliqué.
Il s’exprimait en marge du Sommet Dakar 2 sur l’Agriculture et la Souveraineté alimentaire.
« En 2022, une enveloppe de 700 millions d’euros a été injectée en Afrique pour soutenir des actions de sécurité alimentaire, de nutrition et de développement agricole », a-t-il notamment indiqué lors de cette rencontre de haut niveau, qui a réuni une quinzaine de chefs d’Etat.
« Ces financements de la France sont pilotés par l’Agence française de développement. Ils sont aussi destinés aux organismes des Nations-Unies, qui interviennent dans la sécurité alimentaire, comme le PAM (Programme alimentaire mondial) et le FIDA (Fonds international de développement agricole) », a précisé M. Guilhou.
La France a apporté cette contribution pour soutenir la formation agricole rurale, la recherche agronomique et la mécanisation de l’agriculture africaine, selon M. Guilhou, ancien ambassadeur de la France au Cameroun.
« L’objectif de Paris est de contribuer à l’atteinte de la sécurité alimentaire » des pays bénéficiaires de ses financements, a-t-il expliqué.