Aussitôt dit, aussitôt fait : un concours est lancé pour recruter lesdits élèves flics dont la plupart par la voie du concours direct, c’est-à-dire essentiellement des diplômés de l’enseignement supérieur ou du secondaire sélectionnés à l’issue d’épreuves théoriques et physiques.
A côté de ceux-là, il y a les autres qui devaient entrer par les flancs, une sorte de concours indirect destiné à recruter des « policiers auxiliaires volontaires » (PAV). Il s’agit d’anciens militaires qui, après concours (théoriquement du moins) devaient aussi intégrer l’Ecole nationale de Police pour y être formés. La loi qui régit la Fonction publique est claire : l’âge limite est de 35 ans
Problème : certains, pour ne pas dire la plupart de ces « PAV » — que les mauvaises langues surnomment « EPAVES » ! — ont été recrutés alors qu’ils avaient 36, 37, 38, 39 et même 40 ans !
Mais puisqu’il fallait taper sur du « pastéfien » et vu que la plupart de ces gaillards étaient en réalité fourgués directement à l’Ecole nationale de Police par des pontes de l’APR — dont un connu pour son immense richesse et sa proximité avec l’ancien président —, les responsables de la Police avaient fermé les yeux. Ayant déjà fait l’Armée, ils étaient dispensés de formation militaire contrairement aux futurs poulets recrutés par le biais du concours direct qui, eux, y étaient astreints
De fait, ces derniers viennent de terminer cette très dure formation et doivent à présent commencer les cours en même temps que les « PAV ». Problème : Entretemps, le régime du président Macky Sall s’est effondré et les responsables de l’Ecole nationale de Police n’osent plusformer des poulets de presque 40ans destinés à intégrer la Fonction publique ! Ne sachant pas quelle conduite tenir et ne voulant pas débuter une formation pour des élèves « flics » au profil de miliciens qui pourraient être virés très vite par les nouvelles autorités — ce qui contraindrait à organiser un nouveau concours —, les responsables de l’Ecole nationale de Police et leur hiérarchie jouent la montre. Tandis que les élèves-flics ayant terminé leur formation militaire, eux, s’impatientent. D’ici à ce qu’ils battent le pavé !
Une situation embarrassante que gagnerait à décanter au plus vite le nouveau ministre de l’Intérieur, le général de gendarmerie Jean-Baptiste Tine ! A préciser que la Gendarmerie, elle, avait refusé de prendre des GAV (gendarmes auxiliaires volontaires) acceptant seulement d’enrôler des auxiliaires(sous les drapeaux et mis à sa disposition) comme la loi le lui permet…
A côté de ceux-là, il y a les autres qui devaient entrer par les flancs, une sorte de concours indirect destiné à recruter des « policiers auxiliaires volontaires » (PAV). Il s’agit d’anciens militaires qui, après concours (théoriquement du moins) devaient aussi intégrer l’Ecole nationale de Police pour y être formés. La loi qui régit la Fonction publique est claire : l’âge limite est de 35 ans
Problème : certains, pour ne pas dire la plupart de ces « PAV » — que les mauvaises langues surnomment « EPAVES » ! — ont été recrutés alors qu’ils avaient 36, 37, 38, 39 et même 40 ans !
Mais puisqu’il fallait taper sur du « pastéfien » et vu que la plupart de ces gaillards étaient en réalité fourgués directement à l’Ecole nationale de Police par des pontes de l’APR — dont un connu pour son immense richesse et sa proximité avec l’ancien président —, les responsables de la Police avaient fermé les yeux. Ayant déjà fait l’Armée, ils étaient dispensés de formation militaire contrairement aux futurs poulets recrutés par le biais du concours direct qui, eux, y étaient astreints
De fait, ces derniers viennent de terminer cette très dure formation et doivent à présent commencer les cours en même temps que les « PAV ». Problème : Entretemps, le régime du président Macky Sall s’est effondré et les responsables de l’Ecole nationale de Police n’osent plusformer des poulets de presque 40ans destinés à intégrer la Fonction publique ! Ne sachant pas quelle conduite tenir et ne voulant pas débuter une formation pour des élèves « flics » au profil de miliciens qui pourraient être virés très vite par les nouvelles autorités — ce qui contraindrait à organiser un nouveau concours —, les responsables de l’Ecole nationale de Police et leur hiérarchie jouent la montre. Tandis que les élèves-flics ayant terminé leur formation militaire, eux, s’impatientent. D’ici à ce qu’ils battent le pavé !
Une situation embarrassante que gagnerait à décanter au plus vite le nouveau ministre de l’Intérieur, le général de gendarmerie Jean-Baptiste Tine ! A préciser que la Gendarmerie, elle, avait refusé de prendre des GAV (gendarmes auxiliaires volontaires) acceptant seulement d’enrôler des auxiliaires(sous les drapeaux et mis à sa disposition) comme la loi le lui permet…