Cependant dira Mouhamadou Makhtar Cissé, qui prenait part samedi au panel des cadres républicains sur «le financement de l’économie-énergie-agriculture-industrie», des performances exceptionnelles ont été réalisées.
« AujourÂd’hui, la compensation tarifaire versée par l’Etat pour éviter l’augmentation des tarifs est passée de 105 milliards en 2012, à zéro franc en 2015. La Senelec, grâce à la disponibilité de ses groupes, produit une électricité à un coût moyen de 60 francs, alors qu’il était de 80 francs. Nous sommes donc à 85% de taux de disponibilité de nos groupes avec une subvention de zéro.
Le diesel et le flux constituent 80% du parc de Senelec, avec un taux de disponibilité qui s’est largement amélioré, passant de 64% en 2011 à 85% aujourd’hui alors que l’objectif dans le contrat de performance de la Senelec était de 84%», souligne M. Cissé. Cette situation dit-il, « a conduit aujourd’hui, à la fin des délestages et des problèmes de production et que les efforts sont concentrés sur un travail de fiabilisation du réÂseau». Le Dg est d’avis que «la SeÂnelec doit être une société dont la rentabilité financière doit être garantie. Car, pendant longtemps, la tendance était à la surchauÂffe. Nous avons bien travaillé et les efforts qui ont été faits pour essayer de maintenir la situation vont se pourÂsuivre. Il faut de la planification sinon on est en permanence dans l’urgence ».
La SeÂneÂlec dispose, selon lui, d’un plan d’action qui va jusqu’en 2020 pour un montant de 131, 9 milÂliards de francs Cfa et qui permetÂtra de faire tous les investissements de rattrapage, mais aussi de rétablir les pannes et de les détecter à distance. Il annonce aussi qu’après «les investissements de rattrapage, la SeÂnelec s’attellera aux investissements de modernisation. Nous voulons faire de Senelec une société moÂderne avec tout le dispositif qui existe à travers les sociétés d’électricité mondiale pour que la Senelec soit une société de référence basée sur les meilleurs standards ».
abciss@lequotidien.sn
Auteur: Le Quotidien - Lequotidien
« AujourÂd’hui, la compensation tarifaire versée par l’Etat pour éviter l’augmentation des tarifs est passée de 105 milliards en 2012, à zéro franc en 2015. La Senelec, grâce à la disponibilité de ses groupes, produit une électricité à un coût moyen de 60 francs, alors qu’il était de 80 francs. Nous sommes donc à 85% de taux de disponibilité de nos groupes avec une subvention de zéro.
Le diesel et le flux constituent 80% du parc de Senelec, avec un taux de disponibilité qui s’est largement amélioré, passant de 64% en 2011 à 85% aujourd’hui alors que l’objectif dans le contrat de performance de la Senelec était de 84%», souligne M. Cissé. Cette situation dit-il, « a conduit aujourd’hui, à la fin des délestages et des problèmes de production et que les efforts sont concentrés sur un travail de fiabilisation du réÂseau». Le Dg est d’avis que «la SeÂnelec doit être une société dont la rentabilité financière doit être garantie. Car, pendant longtemps, la tendance était à la surchauÂffe. Nous avons bien travaillé et les efforts qui ont été faits pour essayer de maintenir la situation vont se pourÂsuivre. Il faut de la planification sinon on est en permanence dans l’urgence ».
La SeÂneÂlec dispose, selon lui, d’un plan d’action qui va jusqu’en 2020 pour un montant de 131, 9 milÂliards de francs Cfa et qui permetÂtra de faire tous les investissements de rattrapage, mais aussi de rétablir les pannes et de les détecter à distance. Il annonce aussi qu’après «les investissements de rattrapage, la SeÂnelec s’attellera aux investissements de modernisation. Nous voulons faire de Senelec une société moÂderne avec tout le dispositif qui existe à travers les sociétés d’électricité mondiale pour que la Senelec soit une société de référence basée sur les meilleurs standards ».
abciss@lequotidien.sn
Auteur: Le Quotidien - Lequotidien