Selon leur porte-parole, Ousmane Diakhaté, le Rasiaat peut faire office de panacée pour juguler le chômage et l’absence de sécurité alimentaire concernant l’huile pour les ménages et le tourtereau pour le bétail. A l’en croire, ils sont en mesure d’assurer 30% des besoins du Sénégal en huile estimés à 180 000 tonnes par mois.
Seulement, regrette M. Diakhaté, leurs activités sont à l'arrêt pour diverses raisons, dont l’insuffisance de la production arachidière, la présence d’opérateurs véreux qui profitent d’un système perfectible en dépit des efforts de l’État en termes de semences de qualité, la concurrence des Chinois mieux armés par leur État, favorisant l’exportation de graines au lieu des produits finis, l’absence de soutien de État du Sénégal aux huiliers, alors qu’il consent beaucoup de moyens pour une production arachidière abondante, mais ne fait rien pour la transformation, surtout celle artisanale.
Ainsi, pour décanter la situation, les huiliers demandent à l’État d’obliger la Sonacos à libérer les graines collectées durant la campagne 2021/2022, pour permettre aux unités du Rasiaat de travailler et aux consommateurs sénégalais d’avoir une huile de qualité à un prix abordable.
D’après M. Diakhaté, la Sonacos dispose d’un stock de plus de 100 000 tonnes de graines d’arachide, alors que son outil industriel ne peut les transformer. Ainsi au lieu de revendre les graines aux négociants chinois, ils pensent qu’on doit leur revendre les graines.
Seulement, regrette M. Diakhaté, leurs activités sont à l'arrêt pour diverses raisons, dont l’insuffisance de la production arachidière, la présence d’opérateurs véreux qui profitent d’un système perfectible en dépit des efforts de l’État en termes de semences de qualité, la concurrence des Chinois mieux armés par leur État, favorisant l’exportation de graines au lieu des produits finis, l’absence de soutien de État du Sénégal aux huiliers, alors qu’il consent beaucoup de moyens pour une production arachidière abondante, mais ne fait rien pour la transformation, surtout celle artisanale.
Ainsi, pour décanter la situation, les huiliers demandent à l’État d’obliger la Sonacos à libérer les graines collectées durant la campagne 2021/2022, pour permettre aux unités du Rasiaat de travailler et aux consommateurs sénégalais d’avoir une huile de qualité à un prix abordable.
D’après M. Diakhaté, la Sonacos dispose d’un stock de plus de 100 000 tonnes de graines d’arachide, alors que son outil industriel ne peut les transformer. Ainsi au lieu de revendre les graines aux négociants chinois, ils pensent qu’on doit leur revendre les graines.