Le 15 février 2023, le Président de l’Office National de lutte contre la fraude et la corruption (OFNAC) a été saisi d’une plainte contre X pour corruption. Dans l’exposé des motifs de la requête Président, le Collectif dit des victimes de Daouda Diallo invoque la loi Numéro 2013-30 portant création de l’OFNAC pour souligner que
« la corruption est l’une des plus graves entraves au développement économique et social. Elle constitue, en effet, un frein à la croissance économique en même temps qu’elle décourage l’investissement privé surtout étranger, réduit les ressources disponibles pour le développement et menace les fondements de l’État de droit ».
Toujours dans sa requête, le Collectif cite l’article de la loi précitée qui dispose : «la mission de l ‘OFNAC est la prévention et la lutte contre la fraude, la corruption, les pratiques assimilées et les infractions connexes, en vue de promouvoir l’intégrité et la probité des affaires publiques »
En tout cas pour le Collectif qui est convoqué pour une audition à l’Ofnac demain vendredi 26 Mai 2023, il note dans sa lettre plainte qu’il sent des choses pas nettes « dans la gestion foncière de notre département depuis l’avènement du Receveur Daouda Diallo au bureau des Domaines de Guédiawaye ».
Plusieurs litiges fonciers visés
Le Collectif de mentionner dans sa lettre, « nous avons jugé nécessaire de saisir votre noble institution pour une enquête sur les transactions foncières à Guédiawaye notamment sur les lotissements dits « Extension UMS », Ndiarème Limamoulaye « Wakhinane », « Sahm Notaire », « Ndiobéne….. ».
Tout en fondant son espoir sur l’Ofnac, le Collectif dit des victimes de Daouda Diallo, par la voix de son porteparole, Babacar Mbaye Ngaraf déclare qu’il se rendra vendredi à l’Ofnac, une institution dont il loue la compétence et le sens élevé de la responsabilité pour mettre un terme à la corruption.
Le Collectif déclare également, fonder son espoir sur la nouvelle équipe de l’administration des impôts et domaines de Guédiawaye, à savoir le chef du centre, Kader Sy, le receveur, Assane Fall Dia et le chef du cadastre, Malèye Diop.
Tribune
« la corruption est l’une des plus graves entraves au développement économique et social. Elle constitue, en effet, un frein à la croissance économique en même temps qu’elle décourage l’investissement privé surtout étranger, réduit les ressources disponibles pour le développement et menace les fondements de l’État de droit ».
Toujours dans sa requête, le Collectif cite l’article de la loi précitée qui dispose : «la mission de l ‘OFNAC est la prévention et la lutte contre la fraude, la corruption, les pratiques assimilées et les infractions connexes, en vue de promouvoir l’intégrité et la probité des affaires publiques »
En tout cas pour le Collectif qui est convoqué pour une audition à l’Ofnac demain vendredi 26 Mai 2023, il note dans sa lettre plainte qu’il sent des choses pas nettes « dans la gestion foncière de notre département depuis l’avènement du Receveur Daouda Diallo au bureau des Domaines de Guédiawaye ».
Plusieurs litiges fonciers visés
Le Collectif de mentionner dans sa lettre, « nous avons jugé nécessaire de saisir votre noble institution pour une enquête sur les transactions foncières à Guédiawaye notamment sur les lotissements dits « Extension UMS », Ndiarème Limamoulaye « Wakhinane », « Sahm Notaire », « Ndiobéne….. ».
Tout en fondant son espoir sur l’Ofnac, le Collectif dit des victimes de Daouda Diallo, par la voix de son porteparole, Babacar Mbaye Ngaraf déclare qu’il se rendra vendredi à l’Ofnac, une institution dont il loue la compétence et le sens élevé de la responsabilité pour mettre un terme à la corruption.
Le Collectif déclare également, fonder son espoir sur la nouvelle équipe de l’administration des impôts et domaines de Guédiawaye, à savoir le chef du centre, Kader Sy, le receveur, Assane Fall Dia et le chef du cadastre, Malèye Diop.
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