Aprés avoir constaté les pratiques qui s’opèrent au niveau de leur cité Ucad 4 dite «Dieyi Diouf», le Collectif des travailleurs de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar se dit remonté. Dans une déclaration rendue publique et lue par nos confrères de Walfadjri, il dénonce l’accaparement d’une partie de la cité, depuis 2008.
«(…) Cette situation s’est dramatiquement muée, avec l’immixtion de tierces autres parties bien identifiées, en spoliation savamment organisée de nos parcelles acquises au prix d’énormes sacrifices dans la légalité la plus totale», lit-on, dans le communiqué. Et devant ces faits, le Collectif s’indigne du «mutisme incompréhensible des autorités»
Selon eux, les spoliateurs procèdent à la «vente de parcelles, de destruction de constructions déjà réalisées, de dégradation des infrastructures de viabilisation, de dénaturation des normes de la cité». Ils révèlent, en outre, que «les attributaires de parcelles orchestrent des cabales, arrestations, agressions permanentes, menaces de mort, etc.)» Ils informent que toute la procédure d’acquisition et d’attribution de leurs parcelles a été respectée, conformément à la loi. Après avoir saisi les autorités universitaires et le Président Macky Sall, ils interpellent la Justice sur l'urgence de trouver une solution définitive à ce dramatique problème. Par ailleurs, le Collectif réclame la finalisation de la procédure d’immatriculation du site et la création du bail comme le stipule le décret présidentiel 2006-374 du 24 avril 2006.
«(…) Cette situation s’est dramatiquement muée, avec l’immixtion de tierces autres parties bien identifiées, en spoliation savamment organisée de nos parcelles acquises au prix d’énormes sacrifices dans la légalité la plus totale», lit-on, dans le communiqué. Et devant ces faits, le Collectif s’indigne du «mutisme incompréhensible des autorités»
Selon eux, les spoliateurs procèdent à la «vente de parcelles, de destruction de constructions déjà réalisées, de dégradation des infrastructures de viabilisation, de dénaturation des normes de la cité». Ils révèlent, en outre, que «les attributaires de parcelles orchestrent des cabales, arrestations, agressions permanentes, menaces de mort, etc.)» Ils informent que toute la procédure d’acquisition et d’attribution de leurs parcelles a été respectée, conformément à la loi. Après avoir saisi les autorités universitaires et le Président Macky Sall, ils interpellent la Justice sur l'urgence de trouver une solution définitive à ce dramatique problème. Par ailleurs, le Collectif réclame la finalisation de la procédure d’immatriculation du site et la création du bail comme le stipule le décret présidentiel 2006-374 du 24 avril 2006.