L’ancien commissaire de police espagnol José Villarejo et Delfin Mocache Massoko, qui dirige le journal numérique équatoguinéen "Diario Rombe", seront poursuivis et traduits en justice. Selon un acte d'accusation du gouvernement espagnol, Villarejo a reçu de l'argent et a travaillé avec Massoko, pour discréditer des entreprises et des politiciens africains en utilisant des informations privilégiées.
Au cours des dernières années, révèle "Libération online", des personnes liées à "Diario Rombe" ont en effet tenté de faire chanter des entreprises et des agents publics. Elles ont menacé de leur infliger des préjudices financiers et de ternir leurs réputations si leurs demandes n'étaient pas satisfaites.
Par conséquent, une plainte pénale et civile est actuellement déposée par Centurion Law Group au nom des victimes. "Cette plainte démontre l'engagement continu à démasquer les acteurs malveillants derrière certaines des attaques les plus flagrantes contre les entreprises noires et les Africains de tous les jours. Les conséquences des actions de Delfin Mocache Massoko et Villarejo sont considérables, car affectant non seulement des individus, mais aussi des économies africaines entières qui tentent de se remettre de la Covid-19", affirment les avocats des victimes.
Au cours des dernières années, révèle "Libération online", des personnes liées à "Diario Rombe" ont en effet tenté de faire chanter des entreprises et des agents publics. Elles ont menacé de leur infliger des préjudices financiers et de ternir leurs réputations si leurs demandes n'étaient pas satisfaites.
Par conséquent, une plainte pénale et civile est actuellement déposée par Centurion Law Group au nom des victimes. "Cette plainte démontre l'engagement continu à démasquer les acteurs malveillants derrière certaines des attaques les plus flagrantes contre les entreprises noires et les Africains de tous les jours. Les conséquences des actions de Delfin Mocache Massoko et Villarejo sont considérables, car affectant non seulement des individus, mais aussi des économies africaines entières qui tentent de se remettre de la Covid-19", affirment les avocats des victimes.