Les régions du Sud du Sénégal enregistrent chaque année les plus forts taux de grossesse en milieu scolaire. Et parfois, avec des chiffres inquiétants et alarmants. Comme c’est le cas à Bignona où 200 jeunes filles ont été engrossées en moins de deux ans.
« La majeure partie de ces filles-mères sont issues des écoles primaires et la plus jeune est âgée de 11 ans. A cet effet, elle a plus de chance d’accoucher par césarienne », a révélé à L’Observateur, Adama Diop, chef du service départemental de l’Action éducative en milieu ouvert (Aemo).
Enfonçant le clou, M. Diop dénonce le silence coupable voire complice des parents et apprend que plusieurs de ces filles été contraintes de quitter l’école. « Ces grossesses contractées par des adultes et curieusement, personne ne dit absolument rien », déplore-t-il.
« La majeure partie de ces filles-mères sont issues des écoles primaires et la plus jeune est âgée de 11 ans. A cet effet, elle a plus de chance d’accoucher par césarienne », a révélé à L’Observateur, Adama Diop, chef du service départemental de l’Action éducative en milieu ouvert (Aemo).
Enfonçant le clou, M. Diop dénonce le silence coupable voire complice des parents et apprend que plusieurs de ces filles été contraintes de quitter l’école. « Ces grossesses contractées par des adultes et curieusement, personne ne dit absolument rien », déplore-t-il.