Ce qui nous inquiète surtout, c’est la réouverture des sites d’orpaillage traditionnel. Depuis leur réouverture, nous constatons que des gens de diverses nationalités y travaillent. Certains viennent même de pays où il y a encore la maladie à virus Ebola", a dit le docteur Kabou.
Il s’entretenait avec les participants de la "caravane de sensibilisation" (13-25 mai) sur la fièvre Ebola, à l’initiative de l’ONG Réseau international solidarité-entraide pour le développement/World (RISED).
La campagne de sensibilisation concerne les régions de Tambacounda, Kédougou et Kolda.
Des ressortissants d’"une quinzaine" de pays travaillent dans les 21 sites d’orpaillage traditionnel de la région de Kédougou, qui sont communément appelés "dioura", selon une source médicale qui a requis l’anonymat.
Le plus grand de ces sites est celui de Kharakhena, situé à 35 kilomètres de Saraya, près de la frontière entre le Sénégal et le Mali.
La caravane s’est rendue sur ce site, où ses animateurs ont évoqué avec les commerçants surtout les risques de contagion du virus Ebola et les mesures à prendre pour l’éviter.
APS
Il s’entretenait avec les participants de la "caravane de sensibilisation" (13-25 mai) sur la fièvre Ebola, à l’initiative de l’ONG Réseau international solidarité-entraide pour le développement/World (RISED).
La campagne de sensibilisation concerne les régions de Tambacounda, Kédougou et Kolda.
Des ressortissants d’"une quinzaine" de pays travaillent dans les 21 sites d’orpaillage traditionnel de la région de Kédougou, qui sont communément appelés "dioura", selon une source médicale qui a requis l’anonymat.
Le plus grand de ces sites est celui de Kharakhena, situé à 35 kilomètres de Saraya, près de la frontière entre le Sénégal et le Mali.
La caravane s’est rendue sur ce site, où ses animateurs ont évoqué avec les commerçants surtout les risques de contagion du virus Ebola et les mesures à prendre pour l’éviter.
APS