‘’D’importants efforts ont été faits (…) en termes de densification sanitaire notamment, ce qui a permis d’avoir des résultats acceptables’’, a reconnu M. Doucouré.
D’après l’APS qui livre l’info, il intervenait au lancement officiel de la Semaine nationale de la santé de la mère et de l’enfant, samedi, à Kaffrine (centre), en présence des autorités locales et de la représentante au Sénégal de l’Organisation mondiale de la santé, Lucile Imboua.
‘’Aujourd’hui, le taux de mortalité maternelle est passé de 396 décès pour 100.000 naissances vivantes en 2010 à 236 décès pour 100.000 naissances vivantes en 2017, ce qui traduit une diminution de 40 % en sept ans’’, a précisé Mamadou Doucouré.
L’APS informe aussi qu’en dix ans, le taux de mortalité néonatale est passé de 29 décès pour 1.000 naissances vivantes à 21 décès pour 1.000 naissances vivantes, le taux de mortalité infantile, lui, baissant de 39 à 27 décès pour 1.000 naissances vivantes, selon le directeur de la santé de la mère et de l’enfant.
Mais de nombreux défis restent à relever, car le Sénégal a pris des engagements sur le plan international, notamment en ce qui concerne les objectifs de développement durable à atteindre d’ici à 2030, a signalé Mamadou Doucouré.
En 2021, dans la région de Kaffrine, 26 décès maternels et 239 décès néonataux ont été recensés par les services de santé, selon un rapport de la direction de la santé de la mère et de l’enfant.
‘’Les facteurs de décès qui reviennent souvent (…) sont les recours tardifs aux établissements de santé, les consultations prénatales inadéquates, avec un taux de couverture de seulement 30 %, les accouchements à domicile et la problématique de la disponibilité du sang’’, a précisé M. Doucouré.
Il propose qu’‘’une forte sensibilisation’’ soit menée sur la santé maternelle, infantile et néonatale pour réduire fortement les décès d’enfants et de mères dans la région de Kaffrine.
Le Sénégal s’est fixé pour objectifs de réduire le taux de mortalité maternelle à 70 décès pour 100.000 naissances vivantes, le taux de mortalité infantile à 10 décès pour 1.000 naissances vivantes, et le taux de décès infanto-juvéniles à 20 pour 1.000 naissances vivantes, d’ici à 2030, a dit le gouverneur de Kaffrine, William Manel.
A nos confrères il confie que pour atteindre ces objectifs, il faut mobiliser tous les acteurs concernés, selon M. Manel, qui présidait la cérémonie de lancement de la Semaine nationale de la santé de la mère et de l’enfant.
Il existe ‘’des gaps’’ en matière d’utilisation des services de la santé de la mère et de l’enfant, a-t-il ajouté, affirmant que ‘’c’est pour les résorber que le Sénégal a déroulé la campagne en vue de l’accélération de la réduction de la mortalité maternelle, comme le recommande l’Union africaine’’.
La célébration de la Semaine nationale de la santé de la mère et de l’enfant est une recommandation faite à ses pays membres par l’Union africaine, a rappelé le gouverneur de Kaffrine.
D’après l’APS qui livre l’info, il intervenait au lancement officiel de la Semaine nationale de la santé de la mère et de l’enfant, samedi, à Kaffrine (centre), en présence des autorités locales et de la représentante au Sénégal de l’Organisation mondiale de la santé, Lucile Imboua.
‘’Aujourd’hui, le taux de mortalité maternelle est passé de 396 décès pour 100.000 naissances vivantes en 2010 à 236 décès pour 100.000 naissances vivantes en 2017, ce qui traduit une diminution de 40 % en sept ans’’, a précisé Mamadou Doucouré.
L’APS informe aussi qu’en dix ans, le taux de mortalité néonatale est passé de 29 décès pour 1.000 naissances vivantes à 21 décès pour 1.000 naissances vivantes, le taux de mortalité infantile, lui, baissant de 39 à 27 décès pour 1.000 naissances vivantes, selon le directeur de la santé de la mère et de l’enfant.
Mais de nombreux défis restent à relever, car le Sénégal a pris des engagements sur le plan international, notamment en ce qui concerne les objectifs de développement durable à atteindre d’ici à 2030, a signalé Mamadou Doucouré.
En 2021, dans la région de Kaffrine, 26 décès maternels et 239 décès néonataux ont été recensés par les services de santé, selon un rapport de la direction de la santé de la mère et de l’enfant.
‘’Les facteurs de décès qui reviennent souvent (…) sont les recours tardifs aux établissements de santé, les consultations prénatales inadéquates, avec un taux de couverture de seulement 30 %, les accouchements à domicile et la problématique de la disponibilité du sang’’, a précisé M. Doucouré.
Il propose qu’‘’une forte sensibilisation’’ soit menée sur la santé maternelle, infantile et néonatale pour réduire fortement les décès d’enfants et de mères dans la région de Kaffrine.
Le Sénégal s’est fixé pour objectifs de réduire le taux de mortalité maternelle à 70 décès pour 100.000 naissances vivantes, le taux de mortalité infantile à 10 décès pour 1.000 naissances vivantes, et le taux de décès infanto-juvéniles à 20 pour 1.000 naissances vivantes, d’ici à 2030, a dit le gouverneur de Kaffrine, William Manel.
A nos confrères il confie que pour atteindre ces objectifs, il faut mobiliser tous les acteurs concernés, selon M. Manel, qui présidait la cérémonie de lancement de la Semaine nationale de la santé de la mère et de l’enfant.
Il existe ‘’des gaps’’ en matière d’utilisation des services de la santé de la mère et de l’enfant, a-t-il ajouté, affirmant que ‘’c’est pour les résorber que le Sénégal a déroulé la campagne en vue de l’accélération de la réduction de la mortalité maternelle, comme le recommande l’Union africaine’’.
La célébration de la Semaine nationale de la santé de la mère et de l’enfant est une recommandation faite à ses pays membres par l’Union africaine, a rappelé le gouverneur de Kaffrine.